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Prison de Muret : Accident aux cuisines. La sécurité des personnels en cas de malaise

Le 25 octobre 2022 alors qu’elle contrôlait les chariots du repas pour le midi, l’agent de la cuisine a reçu une décharge électrique et a été projeté au sol.

Alors qu’elle était inconsciente, les détenus travaillant aux cuisines ont essayé de lui porter secours et d’alerter les personnels travaillant dans les services situés autour des cuisines.

L’accès des cuisines étant fermé les détenus et sans aucun moyen d’alerte, seuls leurs appels ont réussi à alerter le personnel se trouvant à proximité

L’agent cuisine a repris connaissance et après constatation du médecin de l’USMP, la décision de la faire transporter aux urgences par un personnel fut prise.

FO Muret apporte tout son soutien à Sabrina des cuisines et lui souhaite un prompt rétablissement

Trois constats sont à faire :

1er – le chariot en question avait été signalé depuis plusieurs semaines et apparemment rien n’avait été entrepris pour résoudre le problème électrique défectueux…

2e – cet accident met en avant un souci d’alerte et de sécurité lorsque le personnel travaillant aux cuisines se retrouve dans une situation d’incapacité de donner l’alerte (malaise – électrocution – etc..) les détenus n’ont aucun moyen de prévenir..(bouton à déclencher l’alerte ou autre)

Nous ne parlerons pas du cas d’une agression volontaire des détenus..

3e – alors que cet agent était en état de choc et avait du mal à marcher, le médecin de l’USMP a décidé qu’elle pouvait se rendre aux urgences accompagnée d’un autre membre du personnel.. Quand on prend du 220 volts et que l’on se retrouve projeté au sol il n’est pas rare d’avoir des convulsions ou d’autres malaises par la suite ..

Le personnel qui a accompagné Sabrina a reconnu qu’elle avait des difficultés à marcher et qu’elle devait être soutenue dans ses mouvements.

FO Muret demande que tous les chariots soient contrôlés et mis en état de fonctionnement rapidement

FO Muret demande une réflexion sur les moyens d’alerte à mettre en place sur ce secteur

FO Muret demande que soit mis à l’ordre du jour du prochain CHSCT « la prise en charge des personnels subissant une agression ou un souci de santé »

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Compte Épargne Temps : Lettre ouverte au Directeur de l’Administration Pénitentiaire

Objet : Compte Epargne Temps (CET).

Par un courrier en date du 4 juillet 2022, j’attirais votre attention sur la situation des personnels titularisés au cours des années 2021 et 2022, pour lesquels il était opposé un refus à leur demande d’épargner des jours de congés sur leur compte épargne temps (CET).

J’ai bien pris acte de votre réponse du 6 septembre 2022, par laquelle vous m’expliquez que les services du secrétariat général justifient ce refus par leur interprétation des dispositions de l’article 2 du décret n° 2002-634 du 29 avril 2002 portant création du compte épargne-temps dans la fonction publique de l’Etat et dans la magistrature.

Toutefois, les agents n’ayant volontairement pas consommé la totalité de leurs congés, et à qui cela a été accordé, n’ont été informés que très récemment de cette impossibilité de placer le reste de leurs congés sur leur CET. Ainsi, certains agents, titularisés au cours des années 2021 et 2022 n’ont pas la possibilité matérielle de prendre ces congés restant avant la fin de l’année.

C’est la raison pour laquelle je vous demande aujourd’hui de bien vouloir faire preuve de bienveillance à leur égard, en permettant à ces derniers, de manière exceptionnelle, d’être crédités des jours de congés potentiellement perdus sur leur compteur Origine, en lien avec les services gestionnaires de proximité.

Dans l’attente d’un retour positif à notre demande, je vous prie de croire, Monsieur le Directeur de l’Administration Pénitentiaire, à l’expression de mes salutations respectueuses.

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Prison de Villenauxe-la-Grande : Refonte du service. Pour FO c’est NON !

Dans une note de service en date du 6 octobre 2022, le Chef d’établissement portait à la connaissance des agents de Villenauxe la grande une projection des services 2023 tels qu’ils ont été actés conjointement par l’administration et le syndicat majoritaire lors du CTSdu 5 octobre dernier.

Depuis ce jour, la stupeur et la consternation règne dans les rangs des personnels de surveillance, car les agents se retrouvent face à un choix cornélien, à savoir se positionner sur des services qu’ils n’ont pas plébiscités.

La colère des agents est plus que légitime car la déclinaison des services qui leur est proposée n’est absolument pas réglementaire, et de ce fait, elle ne devrait jamais pouvoir être mise en application. En effet :

–  Tout service en Longue Journée (LJ) implique que l’agent soit volontaire. Aucun service LJ ne peut être imposé. Or, il est question ici d’une généralisation totale des services en LJ (avec ou sans nuits), mais si plusieurs dizaines d’agents ne veulent pas travailler en LJ, quels postes l’administration leur proposera-t- elle ?

–  Il nous est présenté la création de 3 nouvelles brigades LJ sans nuits (QA/QID – PEP/PCI/Promenade B et Parloirs Dispo). Au- delà de l’incohérence totale des couplages de postes qui sont proposées, c’est l’identité même de ces brigades qui interpelle. En effet, une brigade LJ sans nuit rentre dans la catégorie PFNA (poste fixe non administratif). A ce titre, les agents de ces brigades doivent avoir 40 jours de CA, décliné en 8 semaines de 5 CA (et non pas 50 CA annuels, comme indiqué sur les documents). De plus, et sans vouloir rentrer dans des considérations trop techniques, les exigibles (journaliers et annuels) ne sont pas du tout les même selon que l’agent soit en brigade postées ou en brigade PFNA. Les services qui sont donc déroulés dans la note citée plus haut sont donc totalement faux, non règlementaires et ils engendreraient des erreurs dans le calcul des heures supplémentaires des agents.

D’autre part, il faut aussi bien garder à l’esprit que tout agent qui intègrerait une brigade PFNA perdrait, de fait, le bénéfice de la prime de 300 euros de juin.

Enfin, et pour clore le débat, depuis quelques années, la DAP refuse systématiquement la création de nouvelles brigades PFNA dans les établissements, pour gommer les disparités entre agents (notamment sur le nombre de CA)

–  Il y a un différentiel inexplicable entre la brigade QID/QA (7 agents pour tenir 3 postes) et la brigade PEP/PCI (12 agents pour tenir … 3 postes !)

–  La brigade parloirs semble être une brigade punition, tant il est difficile de voir quel plaisir auraient les volontaires (désignés d’office, assurément) à travailler quasiment TOUS les week-end, et à être les SEULS à ne pas avoir un week-end de repos avant les CA !

–  Pour finir, l’ultime cerise sur le gâteau, la volante ! Même intégrée au service, ça ne passe plus ! La volante est un système archaïque, qui a disparu de quasi tous les établissements, et qui ne respectent aucunement l’égalité entre agents et leur droit àorganiser leur vie privée !

En conséquence, rien ne va dans ces projections de services. Il est temps d’arrêter les frais et de faire des propositions d’améliorations de services REELLES et CONCRETES.

C’est pourquoi le Bureau Local FORCE OUVRIERE :

–  Demande expressément à la Direction de l’établissement de suspendre dès à présent la mise en place de cette organisation de service bancale.

–  A saisi son Bureau Régional afin que les services de la DISP soient informés du projet et puissent reconnaitre rapidement la non-conformité de ces propositions avec les règlementations en vigueur

–  Appelle toutes les organisations syndicales de l’établissement (sauf la majoritaire, puisqu’elle défend son projet envers et contre tout) à se réunir rapidement afin de définir les contours d’une future organisation de service cohérente, réglementaire et bénéfique pour TOUS !

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ENAP : De qui se moque-t-on ?

Depuis le début de la semaine, une agitation inhabituelle a fait son apparition à l’Énap : la diffusion des postes éligibles au PR de C en B des P.A.

À l’instar des plans de requalifications précédents, l’administration n’a retenu aucune leçon de son inorganisation !

Les postes fléchés ne tiennent pas compte des missions des S.A. indiquées sur le site du Ministère de la Justice : Secrétaire administratif (lajusticerecrute.fr) : mettre en application les règles de gestion administrative ou financière, rédiger des courriers, notes, circulaires ou autres textes réglementaires et fournit des éléments d’aide à la décision, etc.

Nombreux adjoints administratifs réalisent ces tâches au sein des départements et des services.

Il est également à noter que les postes de secrétariat de la DF ou du DRDRI ont été TOTALEMENT oubliés.

Le bureau local FO Justice dénonce une mascarade de plus et précise que les OS représentatives n’ont pas été consultées une seule fois pour l’élaboration de cette liste. Seule l’information non officielle et non consolidée (selon les termes employés) a été donnée. Nous avons d’ailleurs manifesté notre mécontentement à cette occasion.

Il est vrai que tous les postes ne peuvent pas être fléchés, pour autant, il aurait fallu consulter les chefs de département et prendre en compte les tâches effectuées par les A.A. en poste.

Une fois encore et comme pour les PR précédents, la direction de l’école en poste (au moment de l’élaboration de cette liste) a fait les choses en sous-marin sans aucune concertation et sans diffuser aucune information.

Le manque de communication ne fait qu’accroître les frustrations ressenties par les personnels et ne favorise pas l’établissement d’un climat de confiance au sein de l’école. École qui, nous le rappelons, souffre déjà d’un manque d’attractivité et de reconnaissance des personnels.

Autre inéquité criante : les A.A. n’occupant pas un poste requalifié ne peuvent pas prétendre à l’examen professionnel ?!?!?! : Intranet Justice / SG : Ressources humaines / Adjoints administratifs : le plan de requalification 2022-2025 : Pour être éligibles au plan de requalification, outre les conditions statutaires requises pour accéder au corps des secrétaires administratifs […] occuper un des postes requalifiés mentionnés dans la liste, […].

Au regard de ces décisions arbitraires et manifestement discriminantes, le bureau local FO Justice encourage les personnels adjoints administratifs à respecter scrupuleusement et uniquement les missions qui correspondent à leur grade et à ne plus gérer de budget, d’écrire de compte-rendu de réunion, etc.

Vous pouvez aussi toutes et tous postuler sur les postes du SG et de la Direction.

Il est grand temps pour notre ministère dit de la justice de considérer les personnels administratifs comme il se doit. 580 postes au total pour l’ensemble des corps commun du ministère de la justice sur 4 ans (2022-2025), c’est tout simplement une honte !

Ce n’est pas en donnant des miettes que l’on garde et motive les agents.

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Prison de Fleury-Mérogis : Déclaration liminaire CHSCT

Monsieur le Président, mesdames, messieurs les membres du CHSCT

En préambule, nous souhaitions exprimer au sein de cette instance d’échange et de dialogue sociale sous sa dernière forme, notre grande tristesse suite au suicide de notre collègue Alexandre survenu le 27 septembre 2022.

Nous avons une pensée émue pour sa famille et ses 3 enfants, mais aussi pour l’ensemble des personnels qui l’on côtoyés de près ou de loin.

Pour information, au niveau national un groupe de travail et de réflexion sur la prévention des suicides des agents du ministère de la justice a été institué. De même, ce sujet ne doit plus être un tabou mais bénéficier de tous les leviers et de la contribution de l’ensemble des acteurs de notre ministère pour formaliser des actions coercitives et efficaces, ô combien nécessaire.

Force ouvrière Justice restera vigilante sur l’axe d’améliorations des conditions de travail de l’ensemble des personnels sans distinction de grades.

Par ailleurs, du 1er au 08 décembre 2022 se dérouleront les élections professionnelles, enjeu démocratique sociale pour l’ensemble des agents publics, afin de dessiner la carte de la représentativité des organisations syndicales.

Il appartiendra aux personnels d’élire en leur âme et conscience, leurs représentants dans les différentes et nouvelles instances du dialogue sociale :

  •   Les Comités Sociaux d’Administration (CSA)

  •   Les Commissions Administratives Paritaires (CAP)

  •   La Commission Consultative Paritaire (CCP)

En effet, la loi de la transformation de la fonction publique a fusionné les comités techniques et le CHSCT en une instance unique de dialogue social : le Comité Social d’Administration (CSA) qui prendra effet à compter de janvier 2023.

Plus que jamais, la préoccupation des conditions de travail des personnels doit être au cœur de cette nouvelle instance dans le respect de ses différents champs de compétence et des actions menées pour prévenir et prémunir des risques professionnels.

Force Ouvrière Justice insiste pour que les risques psychosociaux doivent être pris en compte en amont des décisions des chefs de services et intégrer sciemment dans les pratiques managériales.

L’absentéisme ambiant, l’épuisement professionnel, le burnout, les maladies longues durées, la fuite des personnels vers d’autres administration, les conflits entre collègues, la dégradation de l’environnement sociaux-professionnels dans certains secteurs, le sentiment d’abandon, la perte d’autorité, la remise en cause de la parole de l’agent, etc…

Ce constat du terrain, montre et démontre la nécessité d’un plan local de prévention sur les risques psychosociaux sur notre établissement pénitentiaire dès 2023, pour renforcer les mesures en place afin de prévenir et préserver la santé et la sécurité des personnels.

Dans la continuité de nos actions, Force Ouvrière Justice réitère la mise en œuvre d’un référent qualité de vie au travail au sein de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.

Force Ouvrière Justice continuera à défendre avec détermination et convictions vos intérêts collectifs et individuels dans ces nouvelles instances et veillera à ce que le rôle de ses représentants syndicaux ne soit ni n’affaiblit ni dilué. Notre organisation pointe également du doigt, l’allure comptable de cette fusion visant les représentants au détriment des personnels.

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Prison de Lutterbach : Agression !!! Un CD sous tension !!!

Les personnels du CD sont régulièrement pris à partis par des détenus, soit par des insultes mais aussi par des agressions physiques. Les refus de réintégrer sont le quotidien dans ce bâtiment. Les agents sont sous pressions.

Tout commence lors de la remontée des promenades, deux détenus bien connu disciplinairement de l’établissement se mettent en tête de ne pas se soumettre au portique, ce qui fait monté la tension avec nos collègues présents, puis refuse de regagner leurs cellules.

Les agents essayent par tous les moyens pour réintégrer les récalcitrants mais cela tourne en intervention où un collègue reçoit des coups puis est étranglé. Les deux protagonistes seront mis en prévention par les ELSP. Lors de la fouille sur un des détenus, un téléphone portable est découvert ce qui explique le refus du passage sous le portique de détection.

FO justice tire la sonnette d’alarme auprès de notre direction sur la situation du CD, qui ne peut continuer dans ces conditions.

FO Justice demande que les sanctions disciplinaires envers les détenus soient exemplaires.

FO Justice félicite tous les personnels qui sont intervenus sur l’agression.

FO Justice souhaite un prompt rétablissement au collègue blessé dans l’intervention.

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Prison d’Orléans-Saran : Le pyromane tueur de moucherons

La semaine ne pouvait pas mieux commencer pour le personnel de la MA1.

Vendredi dernier, le détenu se plaint d’avoir des moucherons dans sa cellule et menace d’y mettre le feu. Il sera vu par l’encadrement et un changement de cellule sera programmé pour le lundi. Malédiction ! La nouvelle cellule en est également infestée.

Comme tout bon professionnel, l’encadrement du bâtiment prévient le détenu que la cellule d’affectation va être de nouveau traitée avec un produit plus puissant et que le changement est reporté.

Mais c’est mal connaître ce tueur de moucherons qui est soumis à une gestion particulière. En effet, le détenu DG passe à l’action aux alentours de 11h05. Alors que les agents procèdent à la remontée des promenades, l’élève surveillant qui se trouve au niveau du portique sent une odeur de brûlé.

Il prévient son binôme et l’information est transmise afin d’arrêter le retour promenade pour une levée de doute. Le détenu DG a bien mis le feu à sa cellule.

Ce dernier a amoncelé des objets dont la télé devant la porte puis y a mis le feu.

Immédiatement, la décision est prise de constituer deux équipes pour intervenir, une avec ARI et l’autre avec les tenues d’interventions.

Le pyromane réfractaire à l’autorité n’a pas voulu sortir de lui-même de sa cellule. Après avoir circonscrit le feu, l’équipe ARI sort cet énergumène de la cellule. Il sera maîtrisé et menotté puis amené par l’équipe en tenue d’intervention.

Le pyromane a été placé en prévention au quartier disciplinaire.

Des agents de la MA2 viendront aider leur collègue pour la réintégration des détenus qui se trouvent dans la cour de promenade ainsi que pour la distribution du repas.

Le SLP Force Ouvrière Justice tient à féliciter l’ensemble du personnel (tous corps et grades confondus) qui a dû gérer cette situation.

Le SLP Force Ouvrière Justice demande à ce que le personnel face l’objet de félicitations écrites et surtout l’élève surveillant.

Le SLP Force Ouvrière Justice constate qu’au sein de l’établissement le nombre de détenus soumis à une gestion QI est en nette augmentation. S’il n’y a pas de place à l’isolement ces détenus doivent être transférés vers d’autres établissements.

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Agression ELSP Auxerre

Ce jour mardi 25 octobre 2022, l’équipe ELSP d’Auxerre renforcée d’un agent réserviste a présenté à l’autorité judiciaire.

Dans le bureau du juge, la personne détenue s’est énervée et violemment rebellée. Les agents présents n’ont eu d’autre choix que d’user de la force nécessaire à la maîtrise de l’individu virulent.

Les agents ont été légèrement blessés. Deux d’entre eux ont écopé de 2 et 3 jours d’ITT.

L’UISP Dijon FO Justice souhaite un prompt rétablissement aux agents. L’UISP Dijon FO Justice félicite les agents pour leur intervention professionnelle.

L’UISP Dijon FO Justice félicite le collègue réserviste qui, malgré de longues années de bons et loyaux services, se retrouve même en retraite, pris dans ces situations de violence.

L’UISP Dijon FO Justice interpelle la DISP de Dijon sur la doctrine d’emploi des personnels réservistes. Pouvons-nous nous satisfaire de constater qu’un personnel en retraite, réserviste, soit employé lors de l’extraction d’une personne détenue escorte 2 ?

L’UISP Dijon FO Justice interroge la DISP de Dijon. Les problématiques RH exposent les agents à l’insécurité. Le débat mérite d’être posé, exposer désormais nos retraités est-il acceptable? Est-il acceptable d’avoir sur une même mission des agents armés et d’autres non ? En cas d’incident avec usage des armes, peut-on accepter la mise en danger d’un agent non-armé ? Pour caricaturer, demain mettrons nous des réservistes non-armés sur des missions PREJ ou ERIS ?

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