La surpopulation carcérale et le manque d’effectif qui touchent notre CP pénitentiaire appelle à un sursaut de nos têtes pensantes pour inverser la tendance et contenir cette hémorragie contagieuse.
La section locale Force Ouvrière Justice a prévenu lors du CSA de ce matin qu’elle prendra ses responsabilités si des mesures d’urgences ne sont pas mises sur la table.
Le jeudi 25 avril 2024, un gradé en poste au quartier disciplinaire a été victimes d’une ignoble agression de la part de l’un de nos pensionnaires défavorablement connus de nos services pour des faits de violences.
Les faits se sont déroulés, vers 9h15 au moment de la mise en place de la promenade.
Notre collègue n’aurait jamais imaginé qu’elle se retrouverait aux urgences pour un simple rappel à l’ordre à un détenu en endossant son uniforme.
En effet, le simple fait de lui ordonner de se vêtir correctement a déclenché une cinglante représailles du voyou.
Animé d’une violence désinhibée, il a assené un violent coup de poing en direction du visage de l’un de nos collègues.
Dans un geste réflexible, il a pu l’esquiver. En réaction, les agents présents ont essayé de le maitriser. Cette maîtrise a été particulièrement compliqué en raison de la virulence du forcené.
Dans ses ébats violents, il a explosé le doigt du gradé à l’issu d’un choc.
Notre collègue a été acheminé par l’assistant de prévention au centre hospitalier afin de subir une opération chirurgicale qui montre l’intensité de cette violence employée.
Le bureau local Force Ouvrière Justice condamne cette ignoble agression et exige des sanctions à la hauteur de la gravité des faits.
Le bureau local Force Ouvrière Justice incite les collègues à déposer plainte pour ne pas banaliser de tels agissements.
Le bureau local Force Ouvrière Justice salue le professionnalisme et le sang-froid des agents dans la gestion de cette agression.
Le bureau local Force Ouvrière Justice soutient nos collègues et les accompagneront dans leurs différentes démarches administratives et judiciaires.
Surpopulation carcérale, un eczéma moral, qui fragilise les conditions de travail et de sécurité !
Monsieur le Président, mesdames, messieurs les membres du CSA
Force Ouvrière Justice ne saurait aborder ce Comité Social de l’Administration sans faire un état des lieux des chiffres des différentes détentions du CP de Fleury-Mérogis.
*Avec une montée en charge prévisionnelle pour atteindre une capacité de près 400 détenus au mois d’aout.
Sur ce point, Force Ouvrière Justice ne validera aucune proposition de monter en charge sans que les conditions d’hygiène et de sécurité ne soient réunies (pas d’eau chaude, problème de chauffage, etc.…)
Le CP de Fleury-Mérogis compte plus de 4000 personnes détenues incarcérées avec une densité carcérale supérieure à 130 % selon les derniers chiffres portés à notre connaissance. Parallèlement, l’érosion de l’effectif de la plus grande prison d’Europe est inquiétante voire abyssale.
Il manque sur notre organigramme de référence prés de :
• 101 agents dans le corps du CEA dont 21 premiers surveillants.
• 16 agents dans le CDC.
De surcroit, l’ouverture du centre de détention a pompé près de 100 agents sur les maisons d’arrêts des hommes et des femmes de notre établissement.
Sans compter, l’accroissement des effectifs des ELSP qui ont été réfléchi à effectif constant, en clair sur le dos de la bête.
Par conséquent, pour Force Ouvrière Justice, le maquillage des chiffres serait irresponsable, l’équation est simple, sans apport en effectif : le compte n’y est pas ! La sécurité des personnels est menacée !
Le constat est partagé, un service des agents en grande difficulté contraint d’imposer un rythme de travail effréné et suicidaire. Le mode dégradé est devenu la norme au lieu de l’exception !
Le baromètre de la qualité de vie au travail est au plus bas. Sur ce point, Force Ouvrière Justice exhorte un audit en urgence.
Par ailleurs, Force Ouvrière Justice pointe des dérives inquiétantes qui ne sauraient être une réponse dans le catalogue de « gadgets administratifs » pour compenser le manque d’effectif !
Notamment, la non imputabilité de service dans certains événements traumatisant et qui peuvent être à l’origine de syndromes de stress post-traumatique (suicide d’une personne détenue par exemple).
Les « pressions à peine masquées » exercées de manière directe ou indirecte sur les agents justifiant pourtant d’un arrêt de maladie. De ce fait, le sous-couvert de la bienveillance ne doit pas glisser maladroitement vers la stigmatisation des personnels.
Force Ouvrière Justice dressera une levée de boucliers contre toute politique qui s’apparentera au « marche ou crève » ?!
Par ce constat, Force Ouvrière Justice se livre sans fard en tirant la sonnette d’alarme sur la situation préoccupante de notre établissement pénitentiaire dans ce contexte national et international dégradé avec un plan Vigipirate rehaussé à son plus haut niveau.
Cette surpopulation carcérale met en surchauffe notre établissement pénitentiaire dans son ensemble à l’approche des jeux olympiques et paralympiques à partir de juillet 2024.
Ainsi, tous les indicateurs sont au rouge, le constat est sans appel, tous les bâtiments sont au bord de l’implosion et en souffrance…
Le malaise est aussi profond que l’insécurité grandissante tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos murs (agressions, menaces, intimidations, autorité remise en cause, manque d’écoute d’une partie de la hiérarchie, mésentente des détenus en cellule, bagarres sur cours de promenades, absentéisme chronique, conflits entre collègues, épuisement professionnel, tour de vis disciplinaire envers les personnels, sentiment de ras-le-bol et de détresse au travail qui se généralise, etc.…)
A cela s’ajoute les difficultés des primo affectés pour se loger en île-de -France qui reste un frein dans l’épanouissement et la sérénité au travail.
Tous les ingrédients sont réunis dans cette cocotte-minute prête à exploser et mettant à rude épreuve les nerfs des personnels tous corps et grades confondus qui travaillent dans un environnement professionnel dégradé.
Force Ouvrière Justiceanticipe et alerte les autorités compétentes :
• Sur la capacité d’accueil de notre établissement au vu des difficultés rencontrées et pour combattre cet « eczéma moral » qui fragilise la sécurité de nos différentes détentions.
• Sur l’absence d’apport suffisant en effectif qui remet en question le fonctionnement normal du CP de Fleury-Mérogis et provoque une mise en danger des personnels. Le bureau local Force Ouvrière Justice n’exclut pas dans ce contexte décrié une réflexion portant sur la mise en œuvre d’une stratégie du plan de continuité d’activité.
• Sur une réflexion portant sur un seuil de criticité carcérale en cohérence avec les effectifs des personnels tous corps et grades confondus pour répondre aux exigences de nos diverses missions.
En conclusion, il est urgent de déclencher un plan audacieux et volontariste pour réguler et contenir cette crise pénitentiaire qui porte son nom.
Le temps des sparadraps sur une jambe de bois n’est plus à la hauteur de la réalité et pression carcérale !
Le bureau local Force Ouvrière apporte un soutien inconditionnel à l’ensemble des personnels tous corps et grades confondus du bâtiment D4, dans la gestion de l’incident technique survenu en cet après-midi du 23 avril 2024.
Les agents ont fait preuve d’une grande solidarité et d’un grand professionnalisme en s’équipant de raclettes et en retroussant leurs manches et pantalons, afin d’évacuer l’inondation en cours au niveau du 1er étage jusqu’au rez-de-chaussée suite à un dysfonctionnement d’une conduite d’eau.
Après 1h30 de dur labeur, l’incident a été maitrisé. Les ELAC ont été appelés en appui pour la remontée tardive des promenades dans le calme et en toute sécurité.
Le bureau local Force Ouvrière Justicefélicite l’ensemble des personnels ainsi que la Direction pour leur réactivité et l’organisation express nécessaire mise en place lors de cet incident inattendu.
Art.11. -Les personnels de l’administration pénitentiaire se doivent mutuellement respect, aide et assistance dans l’exercice de leurs missions.
« Tu casses tu paies, tu agresses tu es sanctionné, tu ne respectes pas l’autorité on t’apprend à la faire respecter »
Le Samedi 20 avril 2024, vers 16h30 un détenu défavorablement connu de nos détentions pour son comportement agressif /impulsif et faisant l’objet de plusieurs agressions physiques ou verbales a décidé sans état d’âme de s’en prendre violemment à un de nos collègues.
Les faits se sont déroulés au niveau du parloir lors de sa fouille intégrale. Les observations des agents ont permis de constater dans ses parties intimes plusieurs contenant de produit prohibé.
Malgré plusieurs injonctions, il a refusé de remettre la totalité des produits.
Pire il était déterminé a appliqué « le quoi qu’il en coûte » version carcérale en assenant deux violents coups de poings à l’un des nôtres.
La maitrise a été particulièrement difficile au regard de l’agressivité du forcené.
Bilan : plusieurs contusions au visage de l’agent et une entorse à la cheville.
Force Ouvrière Justicedéplore la prise en charge tardive vers le CHSF par les pompiers qui a eu lieu vers 20h00.
De plus, lors de son paquetage QD par les agents du bâtiment, une surprise en cache une autre. Un téléphone à été retrouvé dissimulé dans une boite a tondeuse.
Par conséquent, Notre organisation professionnelle s’inquiète de la recrudescence des saisies de portable et de produits stupéfiants sur nos structures. Nous condamnons avec la grande fermeté les agressions et les intimidations en lien avec ses saisies.
Le bureau local Force Ouvrière Justice condamne cette ignoble agression et exige des sanctions à la hauteur de la gravité des faits.
Le bureau local Force Ouvrière Justiceincite les collègues à déposer plainte pour ne pas banaliser de tels agissements.
Le bureau local Force Ouvrière Justicesalue le professionnalisme et le sang-froid des agents dans la gestion de cette agression.
Le bureau local Force Ouvrière Justice soutient nos collègues et les accompagneront dans leurs différentes démarches administratives et judiciaires.
Le bureau local Force Ouvrière Justice restera attentif aux sanctions prononcées à l’encontre des agresseurs des personnels, dans l’exercice de leurs missions régaliennes.
Un vent d’injustice souffle sur notre équipe de surveillantes à Versailles.
Depuis plusieurs mois, nos collègues subissent des traitements inacceptables, victimes d’une gradée aux humeurs changeantes, aux propos vulgaires et aux agissements indignes de ses fonctions. Nos collègues surveillantes subissent un calvaire quotidien, poussées à bout par cette gradée qui se croit tout permis.
Une vraie comédie humaine à laquelle on n’aurait jamais osé rêver !
Une surveillante, exemplaire par sa discrétion, son respect et sa disponibilité, a été la cible privilégiée de cette gradée autoritaire, elle est devenue le souffre-douleur de cette gradée en mal d’exercice de pouvoir. Elle a été bousculée, diminuée, poussée à bout, subissant même des attaques verbales jusque dans l’intimité des vestiaires, sans aucune raison valable.
Savourer toute la palette d’émotions qu’offre une journée de travail à Versailles !
Notre collègue a osé dire STOP ! Mais à Versailles, la voix de la justice est étouffée.
La réponse de la direction ?
Une convocation à la grande cérémonie de l’humiliation, où toute la hiérarchie était réunie pour admirer le spectacle. Attirée dans ce qui semble être un véritable guet- apens, elle s’est retrouvée seule face à un véritable peloton d’exécution : toute la hiérarchie contre une simple surveillante. La porte de la direction s’est fermée sur elle, l’isolant de tout soutien extérieur.
C’est ce qu’on appelle de la démesure !
Mais attention, le drame ne s’arrête pas là !
Le résultat de cette confrontation a été des plus choquants : mais vous ne saurez pas la suite, on nous demande de taire la fin de l’histoire, à vous d’imaginer le pire des scénarios !
Soyons rassurés ! Il semblerait que notre collègue se remette de ses émotions. Reste à savoir si elle aura encore envie de revenir dans cette grande pièce de théâtre qu’est la vie à Versailles.
La balance de l’injustice a encore frappé !
Nous refusons de rester silencieux face à ces abus. Une tempête se prépare, une tempête de solidarité, de résistance, pour faire entendre notre voix et obtenir le respect que nous méritons.
L’injustice ne peut plus régner en maître à Versailles !
Décidément, les fouilles de cellule au CP de Villepinte semblent ne plus étonner personne…
Ainsi, sans grande surprise, le lundi 15 avril 2024, les agents en poste au bâtiment B ont une nouvelle fois mis la main sur un certain nombre d’objets prohibés, lors d’une fouille de cellule de l’un de nos pensionnaires.
2 sachets de viande
1 boitier streaming + câble et télécommande
5 blocs de chargeur
7 câbles USB
3 cigarettes électroniques « Puff »
2 tuyaux à chicha
Le bureau local Force Ouvrière Justice félicite les agents pour la qualité de leurs gestes professionnels.
Le bureau local Force Ouvrière Justice encourage cette politique de lutte contre les trafics en tous genres qui fragilisent la sécurité de notre établissement pénitentiaire.
En ce week-end ensoleillé, le centre pénitentiaire de Fleury-Mérogis inaugure les jeux olympiques avec un concours de pêche. Force est de constater qu’entre « yo-yo » et fouilles, les surveillants ont eu beaucoup de réussite lors de ce match !
En effet, de multiples fouilles ont été organisées ce week-end sur le bâtiment D3 et le CD permettant la découverte de nombreux d’objets prohibés :
8 téléphones type iPhone
2 téléphones portable
63 grammes de cannabis
2 grammes de cocaïne
4 chargeurs
1 IPTV
1 câble USB
1 paire d’écouteurs
La vigilance collective et la lutte incessante contre les trafics en tout genre restent un enjeu majeur pour la sécurité de notre établissement pénitentiaire.
Pour rappel, ces trafics sont à l’origine de nombreux règlements de compte au sein de nos détentions et nos cours de promenades.
Le bureau local FO Justice félicite et demande des récompenses à l’ensemble des agents pour leurs remontées d’informations et leur professionnalisme dans ces découvertes.
Par conséquent, le bureau local FO Justice demande l’organisation d’une opération « Place nette XXL » afin de nettoyer en profondeurs notre établissement. Pour
Le bureau local Force OuvrièreJusticemet en exergue l’excellent travail de l’ensemble des agents qui ont contribué de près ou de loin à préserver la sécurité de notre établissement pénitentiaire.
En effet, ce samedi 13 avril 2024 vers 14h, la pertinence des observations des agents du dépôt de linge sans permis, situé au niveau de l’abri famille, ont permis de saisir diverses « drogues » dissimulées dans une paire de chaussure.
• 9 grammes de cocaïne
• 12 grammes de kétamines
• 31 grammes d’ecstasy
• 5 grammes de méthadone
• 9 grammes d’un autre dérivé de « drogues ».
Le procureur de la république a été avisé et la personne à l’origine de ce dépôt de linge est actuellement entendu dans les locaux de la brigade territoriale chargée des investigations en cours.
Encore une fois, la vigilance collective reste un gage de sécurité pour le bon fonctionnement de notre établissement pénitentiaire.
Le bureau local Force Ouvrière demande des récompenses pour l’ensemble des agents pour la qualité de leurs observations et leur investissement au quotidien.
L’excuse de la surpopulation carcérale au sein de notre établissement pénitentiaire ne saurait justifier cette violence contagieuse, qui gangrène nos coursives et plombe le moral des personnels touchés dans leur chair.
Vers 12h, deux de nos collègues du bâtiment D4 ont encore fait les frais, de coups portés par une voyoucratie sans limite qui ne craigne plus l’uniforme et qui est réfractaire à toute forme d’autorité.
Ainsi, pour un simple rappel à l’ordre, ils ont essuyé sans retenu des insultes, crachats et une pluie de coups de poings sur tout leur corps. Les agents ont été pris en charge par l’assistant de prévention.
Jusqu’à quand notre bonne étoile continuera à briller au-dessus du CP de Fleury- Mérogis? (A part les survols de drones)
De même, mis à part d’être en surchauffe par une surpopulation carcérale, aucune structure ne semble épargnée par l’érosion des effectifs des personnels au sein du CP de Fleury-Mérogis. Selon les prévisions « météorologiques pénitentiaires », il ne nous manquera pas moins de 173 personnels dans le corps du CEA et 16 dans celui du CDC sur notre organigramme de référence.
L’augmentation des ouvertures à 2+1, le nombre grandissant de détenus atteints de troubles du comportement, l’explosion des violences sous toutes ses formes, le manque chronique de personnels,
l’absentéisme galopant, les rappels incessants, l’explosion des heures supplémentaires, l’épuisement professionnel sont des indicateurs de ce malaise profond qui touchent notre établissement pénitentiaire !
Le bureau local Force Ouvrière Justice ne restera pas silencieux vis-à-vis de ce contexte prégnant qui fragilise la sécurité des personnels et plus largement celle de notre établissement pénitentiaire.
Pour notre organisation, se sera un lever de boucliers sans concession si on demande aux agents de faire plus avec moins d’effectifs.
Le bureau local Force Ouvrière Justice prendra ses responsabilités si les réponses apportées à cette crise pénitentiaire tardent voire sont insuffisantes…
Force Ouvrière Justice prévient notre administration qu’elle ne s’interdira aucune action pour garantir l’intégrité des personnels dans leurs différentes missions régaliennes !
Le mercredi 10 avril 2024, grâce au professionnalisme des agents, une arme artisanale confectionnée à partir d’un morceau de bois au bout pointu et mesurant environ 18 centimètres, a été découverte en troisième division lors d’une fouille de cellule. L’arme portait l’inscription : « Allah Akbar ».
A qui était destinée cette arme ?
Le lendemain de cette découverte, on déplore deux agressions sur cette même division. Un détenu frappe à la porte violemment à plusieurs reprises sans s’arrêter, malgré les interventions du surveillant d’étage. Lors de la fermeture, la personne détenue frappe à nouveau brutalement la porte, assénant ainsi un coup à la tête, du collègue élève en stage de mise en situation sur l’établissement.
Pas de répit, 20 minutes après, pendant la distribution du repas, un élève en stage également et, accompagné d’un auxiliaire d’étage, est bousculé et reçoit un crachat d’un détenu tentant un passage en force et refusant de réintégrer sa cellule.
Pourquoi s’arrêter là ? L’importance des ELSP en établissement se confirme une nouvelle fois.
Ce jour, un individu prétendant être armé a tenté de s’introduire sur le domaine pénitentiaire. Le sang-froid, le courage et le professionnalisme de l’ensemble des collègues mobilisés ont permis l’interpellation du transgresseur.
Le bureau local Force Ouvrière Justice demande le transfert pour mesure d’ordre et de sécurité des individus concernés.
Le bureau local Force Ouvrière félicite le professionnalisme des collègues présents qui ont su garder leur sang-froid durant l’incident.
Le bureau local Force Ouvrière Justicedemande que les sanctions pénales et disciplinaires envers ces individus soient exemplaires.
Le bureau local Force Ouvrière Justice apporte tout son soutien à nos collègues et se tient à leur disposition pour leurs diverses démarches administratives et judiciaires.
