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Prison de Nantes : Ça commence bien !

En début d’année la Direction du CP nous informait qu’à compter d’avril l’établissement mettrait à disposition de l’ARPEJ un équipage par jour pour réaliser une mission.
Au vu de la réputation de l’ARPEJ nous nous attendions au pire.
On ne s’est pas trompé !!!!

En moins de 3 semaines l’ARPEJ sème déjà le bazar sur le CP de Nantes.

La semaine passée un équipage devant repartir en mission à 7 heures est rentré à minuit.

Cet après-midi un équipage en mission ne devrait rentrer qu’à minuit pour repartir à l’aube.

Va-t-on annuler la mission transfert ?

Va-t-on annuler les extractions médicales que nous DEVONS à l’USMP ?

Dans ce cas, nul doute, que très rapidement le médical déclenchera des urgences qui seront cadeaux pour les services de nuit.

Alors que les ELSP peinent à recruter des agents intéressés ce n’est sans doute pas la touche ARPEJ qui va rendre attractif ces nouvelles missions…..

Le syndicat local FO justice du CP de Nantes demande à la Direction du centre pénitentiaire de Nantes de continuer à protéger ses agents, de respecter la charte des temps locale pour garantir l’intégrité physique et psychologique de nos collègues.

Le syndicat local FO justice du CP de Nantes demande à la Direction du centre pénitentiaire de Nantes de rappeler à l’ARPEJ et à la Direction Interrégionale que les ELSP sont rattachés à la Direction du centre pénitentiaire et que nous avons des missions locales à assurer.

Le syndicat local FO justice du CP de Nantes apporte son soutien à nos collègues des ELSP et ne laissera pas l’ARPEJ piétiner nos
collègues.

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Prison du Port : Chut… Interdiction d’informer vos représentants syndicaux

Les semaines se suivent et se ressemblent au CD du Port. Une Direction sourde aux revendications des personnels.

Une Cheffe de dette qui brille par sa gestion et ces prises de décisions incohérentes. Et pour couronner le tout :
Une chasse aux sorcières à tous les personnels qui oseraient dénoncés où informer les représentants syndicaux de ce qui se passe sur l’établissement.
Oui Monsieur le Directeur, les personnels ont le droit de savoir que vous avez ouvertement accusé un officier local reconnu de tous (Mais surtout des surveillants), lors de votre rapport de Direction, que c’est lui qui est l’auteur du communiqué « Vous n’avez pas honte » émanant de notre organisation syndicale.

De quel droit Monsieur, avez -vous porter ces accusations ?

Nos communiqués sont signés du bureau local. Sommes-nous dans un régime autocratique ?
Monsieur le Directeur, il est bien plus facile de s’attaquer à cet officier, que de sermonner la Cheffe de dette sur ces mauvaises prises de décisions. Il est bien plus facile de sanctionner des surveillants par des AB2. Ces mêmes personnels qui se sont donner corps et âmes pendant la période du COVID.
Sa dernière décision en date en autorisant un détenu de se déplacer de la PEP jusqu’au bureau des gradés

(La Cheffe de dette) était gradé ce jour-là, suite à l’appel de l’agent portier lui informant qu’il était seul et qu’il fallait une personne pour prendre en charge le détenu. SUPER la sécurité.

Il existe Monsieur le Directeur, un stage de découverte et un stage de mise en situation pour les élèves surveillants, il devient URGENT que la Cheffe de dette effectue ces deux stages afin de connaitre enfin une détention depuis 2014.

SERMONNER ceux qui sont très professionnelles et ne RIEN DIRE à ceux qui cumulent les CASSEROLES. BRAVO.

On pourrait en faire deux films : Les Dieux sont tombés sur la tête ou Quand Charly protège ces drôles de dames. Chèr(e)s collègues c’est à vous de choisir.

Et vous madame la Cheffe de dette de quel droit avez-vous convoquer cet agent afin de lui dire que vous étiez déçus de son comportement car elle informait son syndicat des évènements au CD du Port.
Madame la Cheffe de dette, nous vous le disons une nouvelle fois, vous n’êtes pas la reine ici, respectez les agents, respectez le droit syndical.

ATTENTION collègues, ne dites plus rien à votre syndicat, GRAND MER KAL y veille A ZOT.

Il est vraie Madame que sur votre fiche de poste il a été rajouter que dorénavant vous gérez aussi les rouleaux d’essuie-tout, Ouah, n’avez-vous pas d’autres priorités à gérer, insinuez-vous par cette note de service que les agents volent les rouleaux d’essuie-tout ?
A quand la note de service pour les rouleaux de papier toilette et la désignation d’un Ministre des cabinets de la nation ?

Monsieur le Directeur, Madame la Cheffe de dette, vous ne respectez pas le personnel du CD du Port, vous vous trompez de cible. La situation n’a jamais été aussi tendu et vous jetez une nouvelle fois de l’huile sur le feu.

NOUS ALLUMERONS BIENTOT CE FEU DEVANT LE PORTAIL.

A votre arrivée, la montagne était à votre droite et la mer sur votre gauche.

Quand zot va partir la mer sera toujours à zot gauche, et la montagne à zot droite.

La ligne rouge à été dépassé MOBILISONS NOUS.

NOUT TOUTE, n’importe quels syndicats, ALLON METE ANSAMB pour DEFENDE NOUT BAND COLLÈGUE.

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CDC-CSP : Revalorisation de l’IFO (Indemnité de Fonctions et d’Objectifs)

FO Justice vous informe qu’aujourd’hui, la DAP recevait lesOrganisations Syndicales représentatives du Corps de Commandement et des Chefs des Services Pénitentiaires dans le cadre de la préparation de la revalorisation des mesures liées à l’Indemnité de Fonctions et d’Objectifs (IFO).

FO Justice, par courrier du 19 octobre 2022, avait sollicité leDirecteur de l’Administration Pénitentiaire afin que l’IFO soit revalorisée à la hauteur des fonctions de chacun et que la circulaire indemnitaire prenne en compte la typologie des fonctions occupées par tous les officiers.

Lors de cette réunion FO Justice a pu obtenir des avancées significatives sur ce sujet et a rappelé à l’Administration que l’IFO ne peut être inférieure à l’ICP majorée.

FO Justice vous communiquera la grille sur l’IFO dès réception (courant semaine prochaine).

L’effort indemnitaire devra se poursuivre de manière significative lors des discussions de la réforme historique portée par FO Justice.

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UISP-PARIS : Déclaration Liminaire lors du CSA du 18 avril 2023

Monsieur le directeur interrégional des services pénitentiaire de Paris,

Mesdames et Messieurs les représentants de l’Administration Pénitentiaire et des représentants du personnel,

Avant tout autre propos, dans ces temps de contestation citoyenne, nous tenons à rappeler notre soutient au combat social faisant rage contre le projet de réforme des retraites. FO soutient tous les travailleurs, agents du service public ou du privé !!!

Par cette déclaration liminaire, FO Justice tient à faire part de sa fierté à siéger, en place et fonction de première Organisation Syndicale majoritaire, élues par les personnels et pour les personnels en décembre 2022.

Nos représentants sont à l’image de notre vision de l’administration pénitentiaire, rassemblant tous les corps autour d’un même combat, la défense des droits des agents et du service public.

Nous aurons donc à cœur de porter avec conviction et professionnalisme les valeurs et les revendications qui sont les nôtres afin que l’ensemble des filières soient reconnues à sa juste valeur.

Dans un souci de travail constructif et collaboratif nous appelons la DISP de PARIS, à honorer les règles du dialogue social.

Nous profitons de cette instance pour mettre en lumière les problématiques récurrentes notamment concernant le traitement des Ressources Humaines. Notre organisation syndicale s’insurge des anomalies constatées, des retards de traitement dus aux difficultés rencontrées par les services RH locaux et régionaux souvent insuffisamment formés et en manque cruel d’effectifs.

Pour exemple : Le plan d’équité prend actuellement une place considérable mobilisant les services au détriment du traitement courant indispensable à la bonne marche des ressources humaines.

Aussi nous demandons un changement drastique via à la mise en place d’un groupe de travail sur le sujet RH.

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SPIP 66 Pyrénées Orientales : CSA du 13 avril 2023

Monsieur le Président du CSA SPIP des Pyrénées Orientales,

Le 4/04/2023, nous avons pris connaissance de l’ordre du jour du premier CSA SPIP local et nous vous avons indiqué en retour que les points à l’ordre du jour n’étaient pas soumis pour avis aux Organisations Syndicales, particulièrement ceux concernant le Règlement intérieur du CSA, l’organisation du service en MO, la charte des temps etc.

A cela, vous avez répondu « s’agissant d’un 1er CSA les principaux points à l’ordre du jour donneront lieu à des échanges et un travail de concertations ». Passé la sidération, FO JUSTICE SPIP 66 n’a pu se satisfaire d’une telle réponse puisqu’il est question d’une instance de dialogue social, et non d’une réunion d’antenne.

De plus, le 12/04/2023, au regard de la 12ème journée de mobilisation intersyndicale nationale prévue le jeudi 13 avril, même jour que le CSA, nous vous avons demandé un report, conformément aux positions de nos organisations au niveau national. Et même si la DAP pour les CSA AP et le Ministère pour les CSA M acceptent systématiquement les reports des instances nationales pour le même motif depuis le début de l’année, VOUS avez décidé de refuser de reporter l’instance au niveau local. Au regard de cette réponse, nous avons saisi la Direction interrégionale de Toulouse pour l’alerter sur votre conception des instances de dialogue social, d’autant que le motif de report invoqué était tout à fait légitime.

Nous sommes donc restés cohérents dans nos positions en allant manifester contre la réforme des retraites le 13 Avril 2023 et même si vous avez refusé de reporter le CSA, sachez que nous n’avions pas à nous déplacer en plus pour vous en faire part à nouveau que ce soit à l’oral ou via une déclaration liminaire !

Nous avons bien pris acte que les 2 autres Organisations Syndicales ont fait le choix quant à elles de se déplacer pour lire une déclaration liminaire puis quitter l’instance, un boycott en somme.

Vous en conviendrez, que ce soit notre demande de report ou un boycott après lecture de DL, le résultat équivaut au même puisque l’instance ne s’est pas tenue faute du quorum nécessaire.

Voilà qui laisse le temps pour espérer que vous puissiez établir un ordre du jour bien plus conforme avec des points soumis pour avis et donc au vote des OS. Avec la possibilité d’amender, de nommer des experts et même de demander l’ajout de points. A ce titre, FO JUSTICE SPIP 66 aimerait notamment aborder le sujet de la délocalisation prochaine du SPIP, encore un point important pour lequel nous devrions être consulté dans le cadre du CSA. FO JUSTICE SPIP 66 est impatient de pouvoir siéger et faire entendre les attentes légitimes de nos collègues, sous réserve que la date prévue soit conforme aux agendas sociaux respectifs et sous réserve d’un ordre du jour conforme.

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Flash-inFO CPIP : Campagne de mobilité !

Suite à notre saisine en vue d’ajout de postes sur les DISP de Toulouse et Bordeaux (voir CR bilatérale DAP et DL du CSA SPIP du 06 mars 2023), la DAP nous a confirmé à l’issue du CSA SPIP du 11/04 qu’elle accédait à notre demande en ajoutant 3 postes sur la DISP Toulouse mais qu’il n’y aurait pas d’additif compte tenu des délais impartis. Il nous a été précisé qu’il fallait attendre le retour de la DISP de Toulouse qui fixera les lieux ciblés avant de l’annoncer aux collègues. FO JUSTICE CPIP attendait donc le feu vert de l’administration pour l’annoncer.

Hier, RH4 a pris l’initiative de prévenir les 3 OS qui siègent en CAP, laissant notre OS de côté. Il apparaît donc URGENT de rappeler à RH4 que depuis 2020, il n’y a plus de CAP à proprement parlé pour ce qui est de la mobilité, suite à la loi de transformation, les lignes de gestion de mobilité depuis 2020 précisent pourtant que les OS représentatives en CSA M uniquement (et non en CAP) peuvent appuyer les demandes de mobilités pour motifs particuliers lors de bilatérale avec RH4. Les élus CAP sont concernés par la stagiairisation/titularisation et plus largement la commission de discipline nationale MAIS CERTAINEMENT PLUS LA MOBILITÉ.

Par conséquent, le SNEPAP FSU n’étant plus représentatif en CSA M depuis les dernières élections professionnelles, comment expliquer qu’il leur soit proposée une bilatérale avec RH4 en vue de la mobilité des CPIP cette année?

Depuis 2020, FO JUSTICE CPIP participe à ces bilatérales et pourtant, ce service n’a pas jugé bon de prévenir notre organisation syndicale alors que nous sommes la seule OS à l’origine de cette demande d’ajout de postes pour la DISP de Toulouse.

C’est INACCEPTABLE, d’autant qu’avant les Élections Professionnelles, on nous renvoyait notre absence de représentativité en CSA SPIP, maintenant que nous siégeons dans cette instance (en plus des autres), on invoque la représentativité en CAP, alors que cette instance ne concerne plus la mobilité des CPIP depuis plus de 3 ans.

FO JUSTICE CPIP dénonce cette situation et veillera à se faire entendre afin que cela ne se reproduise plus. Nous invitons les services RH à prendre connaissance des lignes de gestion de mobilité et veiller à les respecter en vue des informations à transmettre et l’organisation des bilatérales.

Pour conclure et sans transition, si vous vous demandez toujours pourquoi en tant que CPIP vous êtes le seul corps soumis au régime du RIFSEEP à ne pas percevoir le CIA, n’hésitez surtout pas à demander des explications aux 3 autres OS car elles ont confirmé via leurs Déclaration Liminaire du 30 mars 2023 être contre le RIFSEEP (qui est passé quand bien même fin 2021) et donc contre le bénéfice du CIA, ce qui a bien sûr été validé par la DAP. Ces OS considèrent même que cela est conforme aux attentes des CPIP qui sont contre le principe d’une « prime au mérite » selon leur propre terme…

N’hésitez pas à nous part de vos avis sur la question du CIA et sur le fait que 3 OS (CGT IP/SNEPAP FSU/UFAP UNSA) par le biais d’un consensus avec la DAP ont pris en votre nom une position qui conduit à une nouvelle iniquité de traitement pour les CPIP.

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FO Justice entendu sur la situation des A.S.E

Après plusieurs communiqués au sujet de la situation et des conditions de travail des agents affectés à la surveillance électronique (ASE) et en Postes Centralisateurs de Surveillance (PCS), l’administration convie enfin les OS à une réunion le 19 avril.

Pour FO Justice, il était urgent d’écouter ces personnels. Il reste maintenant à les entendre dans leurs revendications.

LES MESURES SOUS SURVEILLANCE ÉLECTRONIQUE :

Introduite en France par la loi du 19 décembre 1997, et initialement destinée à permettre l’aménagement d’une peine d’emprisonnement, la surveillance électronique a vu son champ et ses conditions d’application régulièrement élargis.
Pour FO Justice, la montée en puissance du prononcé de cette mesure doit nécessairement être associée à une évolution des pratiques professionnelles, tenant compte des différents acteurs de la prise en charge (magistrats, personnels pénitentiaires d’insertion et de probation, personnels de la protection judiciaire de la jeunesse, personnels administratifs et personnels de surveillance).

MAIS C’EST QUOI UN ASE ?

Un ASE est un personnel de surveillance, recruté par voie de mobilité au sein des services pénitentiaires d’insertion et de probation (SPIP), sous l’autorité d’un Directeur des Services d’Insertion et de Probation (DSPIP). L’ASE doit assurer le bon déroulement de la mise en place des différentes mesures (DDSE, ARSE, ARSEM, PSEM, DDSE peine, LSC et BAR). Il participe, du fait de ses fonctions, à l’insertion/réinsertion des personnes placées sous-main de justice.

Il réalise des enquêtes techniques tout en ayant la charge de l’installation et l’activation du matériel sur les lieux d’assignation. Il assure également la gestion administrative et informatique des mesures.

Pour FO Justice, l’ASE est un acteur essentiel du SPIP en vue de la mise en œuvre des politiques d’insertion et de probation, au même titre que les magistrats, les greffiers, les personnels d’insertion et de probation, les personnels administratifs qui œuvrent tous de concert au suivi en milieu ouvert des mesures alternatives à l’incarcération.

MALHEUREUSEMENT FORCE EST DE CONSTATER QUE LA RÉALITÉ DES TERRAINS EST TOUTE AUTRE

FO Justice s’insurge de constater :

➢ Le manque de personnels, de moyens techniques et de véhicules.
➢ Le manque de sécurité des agents lors des interventions sur les lieux de placements.
➢ L’absence d’harmonisation entre les différents SPIP, avec une gestion propre à chaque service, laissant la porte ouverte au
glissement des tâches, notamment le traitement des alarmes et les modifications horaires.
➢ La mise en place aux forceps des astreintes BAR.
➢ La cacophonie quant aux délais d’intervention.
➢ Le rattachement administratif des agents travaillant en PCS à leur établissement pénitentiaire alors qu’ils devraient l’être à leur
direction interrégionale.
➢ L’emploi de contractuels en PCS : cette pratique doit cesser.
➢ La possibilité de laisser un agent seul de nuit en PCS : FO Justice demande le doublement de l’effectif pour des raisons de
sécurité et de continuité de service en cas d’incident.
➢ L’absence d’accès à une formation continue de qualité.

Conscient des enjeux, FO Justice s’engage auprès des ASE et des agents exerçant en PCS afin que les spécificités de leurs missions soient reconnues à leur juste valeur. Selon notre organisation syndicale, ils méritent une identité propre. C’est pourquoi, lors de la réunion du 19 avril 2023 à la Direction de l’administration Pénitentiaire, FO Justice se fera le porte-parole de ces personnels et, fort de leur expertise, défendra leur vision du métier.

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PA : EXAMEN PROFESSIONNEL pour l’accès au corps interministériel des Attachés d’Administration de l’État du Ministère de la Justice – 2024

Le Syndicat National FO Justice – Personnels Administratifs, vous informe de l’ouverture d’un examen professionnel pour l’accès au corps interministériel des Attachés d’Administration de l’Etat du ministère de la Justice au titre de l’année 2024.

Cet examen est ouvert aux Secrétaires Administratifs du ministère de la Justice qui justifient au 1er janvier 2024 d’au moins six années de services publics dans un corps ou cadre d’emplois de catégorie B ou de niveau équivalent. Les services en tant qu’agent non-titulaire ne sont pas pris en compte.

1. Inscription par voie télématique :

Les préinscriptions seront enregistrées sur le portail intranet du secrétariat général du ministère de la justice et sur le site « lajusticerecrute.fr », du 17 avril à partir de 10 heures au 17 mai 2023 à 17 heures, heure de Paris. Les candidats recevront un accusé réception de leur préinscription généré auquel ils ne devront pas répondre.

En complément de cette préinscription télématique, chaque candidat devra retourner, par voie électronique, la fiched’inscription sous format Excel ou Calc, disponible sur le site « lajusticerecrute.fr » et sur le site intranet, dûment complétée, jusqu’au 17 mai 2023 à 17 heures : concours-sg-a@justice.gouv.fr

2. Inscription par voie postale :

Les candidats qui ne peuvent pas s’inscrire par voie télématique ont la possibilité de demander un dossier d’inscription par courrier en recommandé simple au ministère de la justice, Secrétariat Général, Bureau du Recrutement et de la Formation professionnelle, Examen Professionnel de B en A 2024, 13, place Vendôme, 75042 Paris Cedex.

Le dossier d’inscription sera envoyé à l’adresse du candidat.
Le candidat devra retourner par envoi simple son dossier dûment rempli, au ministère de la justice, à l’adresse

susmentionnée au plus tard le 17 mai 2023, délai de rigueur, le cachet de la poste faisant foi.

Pour tous renseignements cliquez ici( Intranet) ou là

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