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Prison de Fleury-Mérogis : Parloirs D2, 140 grammes de cannabis saisis !

Le bureau local Force Ouvrière Justice félicite l’ensemble des agents des parloirs pour la pertinence de leurs observations suite à la découverte de 140 grammes de produits prohibés.

En effet, le vendredi 03 janvier 2023, à l’issue de la 1ère série de parloirs, lors de la palpation de sécurité sur une personne détenue, l’agent en poste fouille découvre 140 grammes de cannabis dissimulés dans une chaussure.

La visiteuse a été auditionnée par la brigade territoriale de Fleury-Mérogis saisie de l’enquête et des différentes investigations.

Sur les instructions du Chef d’établissement le permis de visite a été suspendu et le parquet avisé.

Nous constatons que les saisies sont de plus en plus importantes au sein de notre établissement pénitentiaire.

Le bureau local Force Ouvrière Justice sollicite une réponse ferme et dissuasive pour contenir cette overdose de produits prohibés au sein de nos détentions, et qui sont à l’origine de nombreux règlements de comptes.

Le bureau local Force Ouvrière Justice demande des récompenses pour l’ensemble des agents pour la qualité de leurs observations et leur investissement au quotidien.

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Prison d’Aix-Luynes : Management toxique et autoritaire

Il sévit un management toxique et autoritaire à l’encontre du personnel de surveillance du centre pénitentiaire (CP) d’Aix-Luynes, la lutte contre l’absentéisme s’est transformée en véritable.

La stratégie de la restructuration du service de planification et ressources humaines (RH) est un ÉCHEC.

Les personnels encore présents sont à bout, qu’il y est un manque d’effectif aggravé par les accidents de travail (AT), les congés maladie ordinaires (CMO), mais également par les diverses absences non anticipées (concours, congés maternité… ), ne justifie pas ce manque de considération.

A contrario, aucune mesure n’ont été mise en place pour les ABSENCES RÉPÉTÉES et l’INAPTITUDE a occuper des postes de commandement ou de direction par certains cadres.

NOUS SOMMES DANS UNE ADMINISTRATION HIÉRARCHISÉE ET NON DANS UNE MONARCHIE ABSOLUE !!!

L’exemplarité, l’assiduité, la présence et le professionnalisme doivent être attendus de toutes les catégories professionnelles.

Il est grand temps de prendre en compte le petit personnel, il convient de respecter à minima le personnel de surveillance encore présent et de le fidéliser par des leviers existants.

Aujourd’hui, les surveillants pénitentiaires effectuent près de 400 heures supplémentaires par an !!!

Soit un peu moins de 3 mois de Travail pour un agent effectuant les 35 heures par semaine !!!

Il est temps pour la direction locale et la direction interrégionale de prendre la mesure de cet établissement.

FO Justice DÉNONCE

– L’INIQUITÉ EN TERME DE TRAITEMENT

– LE MATRAQUAGE DES AGENTS

– CETTE GESTION À DEUX VITESSES

Le bâton pour les uns et la carotte pour les autres sont des facteurs aggravants de l’absentéisme. Il est temps de distribuer des carottes à ce qui prennent des coups de bâtons depuis 6 mois.

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Prison d’Orvault : Inadvertance ou indifférence ?

En cette fin de semaine, nos collègues orvaltais ont eu la désagréable surprise de revoir un ancien pensionnaire.

En mai dernier, ce mineur avait participé au lynchage et passage à tabac de l’un de nos collègues.

Ce jour-là une demi-douzaine d’agents s’étaient retrouvés sur le carreau plongeant l’EPM dans un profond marasme qui a duré plusieurs mois.

Alors que les personnels commencent à sortir la tête de l’eau ces retrouvailles ont profondément et justement marqué les personnels.

Ce matin, les personnels de Direction se sont déplacés spontanément à l’appel afin d’informer les personnels de la gestion de cet individu en attendant son prochain transfert.

Le syndicat local FO justice de l’EPM d’Orvault s’interroge sur le choix de la justice d’écrouer ce détenu à l’EPM d’Orvault et espère qu’il s’agit d’une erreur par inadvertance.

Le syndicat local FO justice de l’EPM d’Orvault se réjouit de la présence de la Direction ce matin et espère que ces nouvelles résolutions tiendront et que l’EPM pourra retrouver sa cohésion et sa dynamique passée.

Le syndicat local FO justice de l’EPM d’Orvault se félicite que le transfert soit d’ores et déjà effectif.

Le syndicat local FO justice de l’EPM d’Orvault apporte son soutien à nos collègues de tous grades et les félicite encore d’avoir tenu l’EPM debout ces derniers mois au prix de nombreux sacrifices.

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COVID – Agents de la fonction publique : Ce qui change au 1er février 2023

3 ans après les débuts de la pandémie, la Covid-19 est toujours présente. Sa circulation, cependant, est en forte baisse, un niveau bas qui n’avait pas été atteint depuis la mi-2021. Les mesures d’encadrement et de suivi évoluent en parallèle. Depuis le 1er février 2023, certaines règles liées à la gestion de cette crise sanitaire ont changé.

A compter du 1er février 2023, conformément aux recommandations du Haut conseil de la santé publique (HCSP), l’isolement obligatoire et systématique des personnes testées positives à la Covid-19 n’est plus requis.

► Fin de la suspension du jour de carence pour les agents de la fonction publique positifs à la Covid-19.

Le décret du 27 janvier met un terme, à compter du 1er février 2023, à la délivrance d’arrêts de travail dérogatoires sans jour de carence aux assurés se trouvant dans l’impossibilité de continuer à travailler, y compris à distance, en cas de contamination par la covid-19. Seul le médecin pourra prescrire un arrêt de travail, si l’état de santé de l’agent ne lui permet pas de travailler.

Il est donc mis fin, à compter du 1er février 2023, à la suspension du jour de carence qui était jusqu’ici appliqué aux arrêts de travail des agents de la fonction publique positifs à la COVID 19.

► Fin du suivi des « cas-contact »

Depuis le 31 janvier 2023, il est mis fin au service « Contact Covid » de l’Assurance Maladie. Ainsi, l’Assurance Maladie ne contactera plus les personnes testées positives à la Covid-19, ni leur cas contact dans le cadre du contact tracing.

► Personnes vulnérables et les autorisations spéciales d’absence (ASA)

Les autorisations spéciales d’absence (ASA) des agents de la fonction publique reconnus comme personnes vulnérables prendront fin le 28 février 2023.

Les gestes barrières restent toutefois fortement recommandés. En cas de positivité au covid, il reste plus judicieux de limiter au maximum les contacts plusieurs jours afin de ne pas contaminer d’autres personnes.

L’Union FO Justice vous informe et vous accompagne

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Prison de Fleury-Mérogis : Quartier mineur. Refus de réintégrer

Le quartier mineur de la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis est sous tension et les personnels font les frais d’une gestion que le bureau local Force Ouvrière Justice qualifie de « bisounours » de la part de la direction du bâtiment D4.

Et ce n’est pas « l’activité poney » mise en place qui ramènera la quiétude sur cette entité mais bien la prise en compte des requêtes des agents acteurs d’une détention sécurisée en lien étroit avec les acteurs de la PJJ. N’en déplaise à certains !

En effet, le jeudi 02 février 2023 vers 17h00, 6 mineurs à défaut de manger des crêpes pour la chandeleur ont décidé de jouer la prolongation sur la cour de promenade dédiée en refusant de réintégrer leurs cellules.

En dépit des nombreuses injonctions de la hiérarchie, les minots restent hostiles à toutes discussions et campent sur leur position provocatrice.

Face à la situation de plus en plus tendue l’ensemble des personnels du bâtiment D4 a été réquisitionné. Les ELAC et les ELSP ont été dépêchées sur place avec la cellule sécurité. Les ERIS de Paris ont été mises en alerte et sont restées en appui.

Après une ultime négociation pour les persuader de regagner leur cellule, le chef d’établissement ordonna l’intervention d’une équipe sur cours de promenade.

Vers 19h30, les fauteurs de troubles ont été maitrisés par l’équipe d’intervention. Aucun blessé n’a été déploré tant au niveau des personnels que des détenus.

Sur les observations des agents, les meneurs ont été identifiés. Trois seront acheminés au quartier disciplinaire. Un autre a été pris en charge par les ERIS pour un transfert par mesure d’ordre et de sécurité.

En présence du chef d’établissement un débriefing a eu lieu avec l’ensemble des acteurs qui ont contribué à la gestion de cet incident sensible.

Une nouvelle fois, les personnels tous corps et grades confondus ont démontré leur professionnalisme et leur savoir-faire dans la gestion d’un incident majeur au sein de notre établissement pénitentiaire.

Une nouvelle fois, ils ont été à la hauteur de la confiance confiée dans la gestion d’un tel événement qui a mobilisé des moyens et des ressources humaines.

Le bureau local Force Ouvrière Justice les félicite pour leur dévouement ainsi que leur engagement au quotidien au sein de l’institution pénitentiaire.

Notre organisation professionnelle souligne également le message de fermeté et de dissuasion envoyé à la population pénale.

Par ailleurs, le bureau local Force Ouvrière Justice constate des problèmes de dysfonctionnement des badgeuses et qui peuvent être à l’origine de la non prise en compte des heures.

Sur ce point, si un message pédagogique voire une consigne a été envoyé via la liste générale par le responsable de l’UOS central pour expliquer comment pointer…

Pour Force Ouvrière Justice, il serait plus pragmatique et objectif de mettre en place deux voire trois badgeuses supplémentaires pour permettre la fluidité et éviter ses dysfonctionnements récurrents.

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Prison de Joux-la-Ville : 1er Surveillant, le plus dur ce n’est pas la chute…

Aujourd’hui les 1ers surveillants sont déjà le dommage collatéral du plan requalification du corps de commandement, ils sont toujours en attente d’une réforme statutaire et indemnitaire.

Ils sont localement, encore davantage abandonnés à leur triste sort, victimes d’une gestion incohérente. En effet, les créations de postes se télescopent avec les postes requalifiés pourvus et non pourvus, tant et si bien que l’écart entre les besoins de l’organigramme de référence et les effectifs réels laisse apparaître un manque de ressource criant.

Malgré les départs successifs et ceux à venir, les arrivées prévues laisseront la situation tout aussi déplorable.

A ce jour seul un planning semestriel leur a été fourni sans aucune visibilité sur quelconque CA !

Va-t-on se moquer d’eux encore longtemps ? Comment est-il seulement envisageable de les laisser dans l’impossibilité de planifier des congés en famille ?

La situation est d’autant plus exubérante que la hiérarchie nous explique que l’effectif serait complet mais que dans le même temps les périodes de congés ne sont pas planifiées.

L’ensemble des 1ers surveillants a pourtant redoublé d’effort et d’investissement pour préserver l’intérêt général et maintenir le navire à flot, et ce depuis plusieurs années.

Peut-on parler de respect ou de déontologie lorsque la seule réponse concrète à leurs interrogations légitimes est, « on verra, on ne va pas s’affoler » ; « chaque chose en son temps ».

Jusque-là tout va bien … le plus dur n’est pas la chute…

Nos 1ers sont rincés, des efforts sont nécessaires et urgent !

Le SLP Joux-la-Ville FO Justice exige que les 1ers puissent avoir un visuel sur leurs congés annuels.

Le SLP Joux-la-Ville FO Justice exige que soit organisé rapidement un groupe de travail sur l’organigramme réel des 1ers ainsi que sur leurs conditions de travail.

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Prison de Rodez : Surveillant ne signifie pas « chair à canon »

Le Syndicat Local FORCE OUVRIÈRE JUSTICE MA RODEZ déplore une fois de plus, une agression lâche et gratuite de la part d’un de nos pensionnaires.

En effet, ce jour le jeudi 2 Février 2023, un psychopathe, défavorablement connu des services pénitentiaires et médicaux de l’établissement pour ses multiples frasques, et qui n’a visiblement pas la lumière à tous les étages ; n’a rien trouvé de mieux, à son retour de l’unité sanitaire que de se défouler gratuitement sur un surveillant, lui assénant un coup de poing au visage et poursuivant l’agression au sol.

Fort heureusement, les collègues sont rapidement intervenus pour maîtriser l’individu et le surveillant a eu les bons réflexes de défense.

Le forcené a finalement terminé son trajet dans sa nouvelle « Suite » au Quartier Disciplaire.

Il est inadmissible qu’un personnel fasse les frais d’un énergumène incontrôlable car incapable de gérer ses frustrations ou sa colère intérieure.

Les surveillants comme tous les autres professionnels de la Maison d’Arrêt de Rodez ne sont ni des « punchings-balls », ni de la « chair à canon ».

FO Justice MA RODEZ remercie sincèrement les camarades présents pour leur réaction professionnelle rapide et efficace, ainsi que la direction soutenante avec le collègue agressé et qui a immédiatement pris les choses en main pour que les démarches de poursuites judiciaires soient rapidement mises en œuvre.

FO Justice MA RODEZ ne se résignera jamais face à l’agressivité gratuite et la violence intolérable de certains repris de justice.

FO Justice MA RODEZ soutien, encourage et accompagnera le collègue dans ses démarches pour que justice soit faite concernant cette agression sur personne dépositaire de l’autorité publique.

FO Justice MA RODEZ réclame le transfert imminent de l’assaillant. Il n’est pas concevable de laisser la victime continuer de subir la présence de son agresseur au quotidien.

FORCE OUVRIÈRE JUSTICE AU PLUS PROCHE DES PERSONNELS !

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Prison de Perpignan : « Surveillants acteurs » au service de mauvais producteurs !

FO Justice CP Perpignan vous alerte sur l’organisation des Commissions De Discipline.

Les CDD s’enchaînent sans pour autant qu’il y ait de place au quartier disciplinaire, augmentant considérablement le travail des SURVEILLANTS de votre établissement, et la liste d’attente des sanctions à exécuter.

FO Justice CP Perpignan vous rappelle qu’à chaque CDD, le SURVEILLANT d’étage (MA ou CD) fait préparer le paquetage des détenus. Les SURVEILLANTS du secteur QD fouillent intégralement le détenu à son arrivée.

FO Justice CP Perpignan vous rappelle une nouvelle fois que le secteur QD ne dispose que de six salles d’attente pour accueillir les détenus.

Toutes ces tâches, pour qu’au final, le détenu reparte faute de place, sans souvent même comprendre la sanction !

Le SURVEILLANT, le jour où une place se libère, doit à nouveau faire faire le paquetage, puis, à l’arrivée au QD, une deuxième fouille intégrale est pratiquée.

Il arrive même que le détenu soit libéré, transféré ou que celui- ci commette une nouvelle infraction, sans même avoir réalisé la sanction de la première…

FO Justice CP Perpignan cherche à comprendre à qui profite cette organisation !?

FO Justice CP Perpignan ne pourrait entendre que ce surplus de travail pour les SURVEILLANTS profite à la chef du BGD (cheffe “hors” détention) afin qu’elle épure ses dossiers…

Monsieur le Directeur ne perdait pas votre temps à nous expliquer qu’il y a des délais, nous savons déjà tout cela.

FO Justice CP Perpignan vous demande monsieur le Directeur d’être à l’écoute de vos hommes, de vos SURVEILLANTS et de ne pas surcharger plus qu’il n’en faut leurs journées de travail.

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