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Prison de Fresnes : Trop c’est trop, le changement c’est maintenant !

Le bureau local Force Ouvrière Justice du centre pénitentiaire de Fresnes ne peut que constater qu’il existe une tendance à faire l’amalgame entre l’ensemble des surveillants pénitentiaires et quelques-uns qui se laissent aller à la corruption.

Nous condamnons avec la plus grande fermeté la corruption au sein de notre administration.

Nous avons un directeur d’établissement qui, dans un rapport du 22 mai 2022 écrit par l’inspection générale des services de la justice, a tenu des propos discriminatoires envers toute une communauté ciblée de surveillants pénitentiaires.

Aujourd’hui, nous avons l’un de ses plus proches collaborateurs, le directeur infra-sécurité, qui se permet de qualifier les agents du Centre pénitentiaire de Fresnes de voyous en tenant les propos suivants : « de toute façon, nous sommes entourés de voyous à Fresnes ».

Ces propos prennent tout leur sens quand on voit la gestion appliquée par la direction à son personnel, géré plus sévèrement que les personnes détenues. Les collègues Fresnois éprouvent une appréhension à l’idée de s’exprimer, de crainte de se retrouver affectés à un autre service avec de nouveaux horaires du jour au lendemain.

Nous sommes affectés au Centre pénitentiaire de Fresnes et non à un poste spécifique, voilà ce qui leur est dit à tout bout de champ.

Monsieur le Directeur, nous comprenons que parfois vous deviez faire preuve de fermeté, mais tout ne se règle pas de cette manière.

À Fresnes, nous enregistrons des taux d’absentéisme record. Quelles en sont les raisons ?

L’établissement pénitentiaire de Fresnes traverse une période particulièrement difficile, tant en termes d’absentéisme que de conditions de travail et de management.

Nous avons sollicité que les chefs de secteur puissent exercer une influence sur la gestion des ressources humaines de leurs secteurs respectifs, mais cette demande est restée sans réponse.

Malgré la situation alarmante dans laquelle nous nous trouvons, personne n’est entendu ; le dialogue demeure directif et non constructif avec les différents collaborateurs qui sont eux aussi à bout de souffle.

La situation à Fresnes, qui se prolonge depuis cinq ans, est ressentie comme un mal-être interminable.

Le bureau de Force Ouvrière Justice du Centre pénitentiaire de Fresnes restera toujours présent pour l’ensemble des collègues.

Le bureau de Force Ouvrière Justice du Centre pénitentiaire de Fresnes ne faiblira pas face à une direction qui ne se montre pas à l’écoute

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ENAP : Les restrictions budgétaires vue par l’ENAP !

Le 10 septembre 2024, le bureau local a été reçu par Madame la directrice afin d’évoquer ensemble l’achat de deux véhicules depuis le début de l’année.

Pour comprendre, voici deux définitions qui permettent d’y voir plus clair :

Un véhicule de fonction est attribué en lien avec la fonction occupée et peut être utilisé à titre privé, c’est un avantage en nature qui doit être déclaré aux impôts.

Un véhicule de service fait partie d’une flotte de véhicules de service mis à disposition d’une équipe de fonctionnaires.

Ces achats sont conformes aux textes réglementaires et notamment à la circulaire du 13 novembre 2020.

La Citroën DS a bien été acquise comme véhicule de fonction.

Mais la question n’est pas la conformité de l’achat mais l’opportunité de cette dépense.

Ce véhicule de fonction, quand bien même annoncé d’occasion, a un coût non négligeable à la vue des restrictions budgétaires annoncées ; on peut s’interroger sur le timing de cette dépense.

La flotte de véhicules de service compte à ce jour quinze véhicules. La Peugeot 308 ou un autre véhicule aurait très bien pu être réaffectée en véhicule de fonction.

Il serait plus que pertinent de faire un état statistique sur l’utilisation de la flotte de véhicules de service et le cas échéant de redimensionner cette dernière.

Ainsi, deux véhicules de plusieurs milliers d’euros ont été achetés en l’espace de 6 mois : un de service et un de fonction alors même que les locaux d’enseignement, de simulation ou sportif réclament des travaux de maintenance corrective urgents (fuites d’eau, climatisation et chauffage hors service, sanitaires vétustes, etc.).

Dans son discours lors de votre investiture, Monsieur CAUWEL a déclaré : « L’ÉNAP est l’un des piliers fondamentaux de la DAP. »

S’il a souvent aussi été dit que l’école était la vitrine de la DAP, une pelouse bien tondue ne fait pas d’une école LA vitrine d’une administration.

Les locaux d’enseignement et d’hébergements doivent eux aussi être entretenus et conformes aux missions et aux attentes de nos apprenants et collègues.

Nous n’avons de cesse de dénoncer le manque d’entretien des salles de cours (tableau blanc cassé, salle sans paperboard, pas de stylo ni brosse, etc.).

Madame la directrice, vous pouvez nous opposer que les lignes budgétaires sont différentes entre l’achat de votre véhicule (budget d’investissement) et l’achat de fournitures pédagogiques (budget de fonctionnement) mais cette dépense aurait pu être utilisée autrement.

Vous déclarez que vous n’êtes pas comptables des actions et dépenses de vos prédécesseurs mais vous êtes aujourd’hui LA directrice de l’école et donc notre interlocutrice.

Vous pouvez sourire quand on évoque les tableaux blancs, les stylos et autres petites fournitures dont ont besoin les personnels pour former nos élèves et stagiaires mais sachez Madame la directrice que les personnels se sentent méprisés par cet achat.

Le bureau local FO Justice vous rappelle que la fonction première de notre École est définie dans l’article R112-44-1 du code pénitentiaire :

« 1° La formation professionnelle initiale et tout au long de la vie des fonctionnaires et agents publics occupant un emploi dans l’administration pénitentiaire ainsi que la formation professionnelle continue des partenaires du service public pénitentiaire. »

Notre première mission est donc de former ET pour cela, il faut que nos collègues formateurs en aient les moyens tant qu’humain que matériel.

Madame la directrice, le bureau local FO Justice a toujours été soucieux d’un dialogue social constructif et respectueux. Ce fut toujours le cas avec vos nombreux prédécesseurs malgré les différents qui ont pu nous opposer.

Monsieur CAUWEL, directeur de l’administration pénitentiaire, directeur de l’ÉNAP il y a encore trois mois, a formulé un souhait dans son discours du 6 septembre 2024 : « […] je vous demande de maintenir un dialogue social constructif, régulier, exigeant mais apaisé avec les représentants des personnels et des élèves dont je peux témoigner de l’envie constante de faire avancer cette école. »

Ce vœu pieux n’aura tenu que quatre jours.

Dans ce contexte général de restriction budgétaire, au mieux l’achat de votre véhicule est une maladresse, au pire un pied de nez aux personnels.

Ce n’est pas d’une pelouse tondue, de véhicule de fonction dont a besoin notre École.

RÉINVESTISSONS dans la FORMATION, principale vitrine de l’ÉNAP.

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Prison de Reims : STOP au Mépris des Surveillants – BLOCAGE ACTE 1

Depuis plusieurs années, le climat au sein de notre établissement s’est considérablement dégradé en raison de la gestion autoritaire et incohérente de notre direction. Les agents de terrain, ceux qui assurent quotidiennement la sécurité et la stabilité de l’établissement, sont de plus en plus malmenés. Il est temps de mettre fin à ce management toxique, qui se traduit par des comportements irrespectueux et des décisions incohérentes impactant directement les conditions de travail.

Des remarques déplacées et un mépris constant des agents

Nous ne pouvons plus accepter que la hiérarchie se permette de juger les agents sur leurs avis d’arrêt maladie ou de faire des commentaires inappropriés concernant les raisons de leurs absences. Ce genre d’attitude n’est pas seulement irrespectueux, il met également en doute la santé mentale et physique des agents, qui doivent se battre contre un environnement professionnel de plus en plus oppressant. La direction doit comprendre que les agents sont des êtres humains, et non des numéros sur une feuille de planning !

Conflits internes entre membres de l’encadrement : les agents en subissent les conséquences

Dans notre établissement, il est impératif de maintenir une cohésion et une collaboration exemplaires entre tous les agents. Cependant, nous avons observé des querelles fréquentes entre deux officiers, ce qui engendre des dysfonctionnements notables dans le fonctionnement quotidien de la structure. Ces querelles non seulement perturbent l’atmosphère de travail, mais elles compromettent également l’accomplissement des missions principales des agents, qui sont de garantir la sécurité, la réinsertion et le respect des droits des détenus. Il est essentiel que des mesures soient rapidement mises en place pour résoudre ces conflits internes, afin de restaurer l’efficacité et l’harmonie nécessaires au bon fonctionnement de notre établissement..

Une situation qui dure depuis trop longtemps…

Le chef d’établissement est parfaitement au courant de cette situation qui persiste depuis plusieurs années. Pourtant, aucune action concrète n’a été mise en place pour apaiser ce conflit, qui continue de déstabiliser l’équipe entière. Le laxisme de la direction face à ces querelles internes est inacceptable. Pourquoi ne fait-elle rien ? Est-elle complice ? Cette inaction ne fait qu’aggraver le malaise général et miner la motivation des agents.

Un management destructeur qui met en danger le personnel

L’incident de la nuit dernière en est la preuve flagrante : un détenu du quartier disciplinaire a mis le feu à sa cellule. Le gradé de nuit, professionnel et réactif, a immédiatement prévenu l’astreinte pour obtenir du soutien. Mais que s’est-il passé ? L’astreinte a choisi de gérer la situation à distance, plutôt que de venir épauler son équipe sur le terrain. Ce choix irresponsable montre une fois de plus le mépris total de la direction pour la sécurité et le bien-être de ses agents. Comment travailler sereinement dans de telles conditions ?

Une absence totale de soutien et une dégradation des conditions de travail

Cet incident est symptomatique d’une gestion globale qui ne tient aucunement compte des réalités du terrain. Les agents sont en première ligne, exposés quotidiennement à des situations de stress intense, tandis que la direction reste à distance, ne montrant aucune solidarité envers ceux qui risquent leur sécurité pour maintenir l’ordre et la discipline.

Le bureau Local demande du changements immédiats et concrets !

1. Une révision complète du management au sein de l’établissement, avec une hiérarchie respectueuse, qui prenne en considération les agents et leurs avis.

2. La fin des querelles entre officiers, et un cadre de travail apaisé, sans interventions intempestives de la chef de détention sur le travail de son adjoint.

3. sur le terrain. Un soutien réel et constant des agents, avec une chef de détention présente

4. La fin des jugements et remarques sur les motifs d’arrêt des agents, et un- respect strict de leur vie privée et de leur santé.

5. Un plan d’action concret pour rétablir la confiance entre la direction et les agents, avec une écoute réelle des problématiques soulevées par le personnel.

Blocage de l’établissement : mobilisons-nous le vendredi 13 septembre 2024 à 6h15

Face à ces graves dysfonctionnements, le bureau Local a décidé de maintenir le blocage de l’établissement le vendredi 13 septembre 2024 à partir de 6h15. Cette action est notre dernier recours pour faire entendre nos voix et réclamer des conditions de travail dignes et respectueuses. À cette occasion, un barbecue sera offert à par le bureau local..

Nous devons montrer à la direction que nous ne sommes pas invisibles.

Cette mobilisation sera l’occasion de rappeler que nous ne sommes pas de simples matricules, des noms sur des plannings, mais des êtres humains avec des droits, des besoins et des attentes. Nous sommes fatigués, épuisés par un système qui nous broie, et il est temps de dire STOP.

Tous unis pour un changement immédiat !

Pour que la situation change, pour que la direction entende enfin nos revendications, nous devons être nombreux et unis. Ensemble, nous pouvons faire pression et exiger que ce management destructeur cesse une fois pour toutes.

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Prison de Fleury-Mérogis : D2 – Le Professionnalisme des Agents Paie !

Le bureau local Force Ouvrière Justice félicite les personnels du bâtiment D2 pour leur action déterminante survenue le Lundi 09 septembre 2024.

En effet, ce lundi vers 10h00, suite à une suspicion des agents, une fouille d’une personne détenue porte ses fruits avec la découverte de 3 billets de 50 euros.

Suite à cette découverte, une fouille de cellule de la personne détenue est programmée et permet de mettre la main sur des objets qui questionnent.

La découverte :

• 1 téléphone portable

• 21 grammes de stupéfiant

• 1 grinder

• De nombreux sachets de conditionnement

• 3 briquets de type clippers

• Plusieurs codes PCS

• 3 briquets de type clippers

• Des identifiants de comptes sur des plateformes cryptées

• 3 morceaux de miroirs coupés

• Divers objets prohibés (serflex, vis,…)

Cette action démontre l’engagement continu des agents du bâtiment D2 pour garantir le règlement mais aussi participer activement à la prévention du trafic au sein de notre établissement. Nous soulignons l’importance des fouilles régulières pour assurer la sécurité et le respect des règles au sein de notre administration.

Le bureau local Force Ouvrière Justice félicite les agents pour la qualité de leurs gestes professionnels ainsi que de leurs observations qui ont contribués à la politique de lutte incessante menée contre la prolifération des produits prohibés au sein de notre établissement.

Notre organisation professionnelle encourage les personnels, tous grades et corps confondus et les différents services à croiser leurs informations afin de lutter efficacement contre les trafics en tous genres qui polluent nos détentions.

Le bureau local Force Ouvrière encourage la diligence et l’engagement continu de nos agents pour maintenir un environnement de travail sécuritaire.

Le bureau local Force Ouvrière demande des récompenses pour l’ensemble des agents pour la qualité de leurs observations et leur investissement au quotidien.

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Prison d’Aix-Luynes : Rencontre Cruciale – Le Personnel Administratif Exprime son Malaise !

Le 5 septembre, à l’initiative du bureau FO Justice du Centre Pénitentiaire (CP) d’Aix-Luynes, une rencontre déterminante a eu lieu avec le Délégué régional PACA des Personnels Administratifs FO JUSTICE réunissant le personnel administratif de notre établissement.

Cet échange a permis aux agents de faire entendre leur voix, de partager leurs difficultés quotidiennes et de mettre en lumière un malaise grandissant lié à leurs conditions de travail. L’objectif de cette réunion était clair :

FAVORISER UN DIALOGUE CONSTRUCTIF ENTRE LES AGENTS ET LA DIRECTION ET ENVISAGER DES SOLUTIONS CONCRÈTES.

REVENDICATION CLÉS

CRÉATION D’UNE SALLE DE REPOS INDISPENSABLE DANS LE BÂTIMENT ADMINISTRATIF

L’absence d’une salle de repos dans le bâtiment administratif est devenue insupportable pour nos agents. Ce manque d’espace dédié nuit à leur bien-être et à leur efficacité.

FO Justice EXIGE l’aménagement immédiat d’un lieu de détente pour permettre aux agents de récupérer et de mieux gérer le stress dans un environnement de travail déjà tendu.

RÉVISION DU COMPLÉMENT INDEMNITAIRE ANNUEL 2024 (CIA)

Le nouveau système d’attribution du CIA a soulevé de vives inquiétudes. De nombreux agents jugent cette distribution inéquitable.

FO Justice RÉCLAME une transparence totale et une réévaluation de cette indemnité, qui doit être ajustée chaque année en fonction de l’évaluation professionnelle de chaque agent.

IL EST ESSENTIEL QUE LE CIA REDEVIENNE UN VÉRITABLE REFLET DE L’ENGAGEMENT ET DE LA PERFORMANCE INDIVIDUELLE.

LUTTE CONTRE LE SOUS-EFFECTIF CHRONIQUE .

Le sous-effectif au sein de notre établissement a des conséquences désastreuses : surcharge de travail, stress accru et impact sur la santé des agents. Malgré de nombreuses demandes de renforcement, aucune action concrète n’a été prise.

FO Justice APPELLE à un renforcement urgent des équipes afin d’assurer des conditions de travail dignes et saines.

ACTIONS EN COURS .

Les revendications ont été formellement transmises à la cheffe d’établissement et à la responsable des services administratifs.

FO Justice EXIGE une réponse rapide et des actions concrètes, notamment en ce qui concerne la création de la salle de repos et une révision juste du CIA.

FO Justice est déterminé à suivre l’évolution de la situation et à maintenir la pression pour obtenir des résultats tangibles !!!

CET ÉCHANGE A ÉTÉ UNE ÉTAPE CRUCIALE POUR FAIRE REMONTER LES PRÉOCCUPATIONS DES PERSONNELS ADMINISTRATIFS DU CENTRE PÉNITENTIAIRE D’AIX-LUYNES.

FO JUSTICE FO JUSTICE CONTINUERA DE SE BATTRE POUR AMÉLIORER LEURS CONDITIONS DE TRAVAIL ET EXIGERA LA MISE EN PLACE DE MESURES CONCRÈTES SANS TARDER.

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Prison de Rouen : Les semaines se suivent et se ressemblent à la Maison d’Arrêt !

Ce Lundi 09 Septembre 2024, le détenu A., énervé, se retrouve derrière la grille palière du rez-de-chaussée de la division 1, et vocifère contre l’officier adjoint du bâtiment sans raison. Ce dernier, ne comprenant pas ce qu’il se passait, ouvre la grille pour discuter avec le protagoniste.

C’est alors que le détenu se montre menaçant et agressif. Pour sa sécurité, avec l’aide de l’officier de bâtiment et des collègues présents, il décide de le maîtriser.

Malgré les multiples injonctions, le détenu fait preuve d’inertie physique. Lors de l’intervention il réussit à mettre un coup de poing au visage de l’officier de bâtiment.

Apres sa maitrise, le détenu sera placé au quartier disciplinaire.

Le Bureau Local FO Justice félicite les collègues qui gèrent ces profils au quotidien.

Le Bureau Local FO Justice apporte tout son soutien à l’agent victime d’agressions physiques et verbales.

Le Bureau Local FO Justice se tient à disposition pour d’éventuelles démarches administratives.

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UISP – Toulouse : Compte-Rendu CSAI du 05/09/2024

L’UISP FO Justice TOULOUSE vous inFOrme

PARC VÉHICULES:

Banalisation des véhicules:

136 véhicules recensés sur le ressort de la DISP de TOULOUSE.

66% des véhicules sont banalisés.

Est en cours l’achat de matériel lumineux, gyro amovibles etc…

18 véhicules à banaliser => 80% des véhicules seront banalisés.

Le DI informe que du marché national initialement prévu sera un marché local.

La DISP priorisera les véhicules ayant le plus faible kilométrage.

Coût de l’opération: 54 000 €

FO Justice demande si cette opération amputera le budget d’une autre opération. Réponse du DI: non – pris sur le budget sécurité aucune opération impactée.

Dotation de 27 véhicules pour la DISP.

Le DI souhaite une répartition équitable des véhicules entre PREJ

  • 3/ERIS
  • 1/ALBI
  • 9/Béziers
  • 5/Muret
  • 7/Nimes
  • 1/ ELSP Rodez
  • 1 à redistribuer pour PREJ ou ELSP

Type de véhicule: Renault Espace.  1 Ford transit (200cv)/PREJ

Sécurisation parc véhicules:

Opération pilotée par la DAP.

La DISP n’a pas d’information sur la protection balistique. En cours de réflexion, le poids supplémentaire (vitres + portes blindées + visseries) entraînant l’usure du véhicule.

ARMEMENT

Di : un groupe de travail mis en place. En attente du choix de l’arme/de la doctrine. Passage en CSA prévu en 2025

5 sessions de formations ESP/an

HOLSTER : La disp a effectué un recensement :

  • 331 PRCZ
  • 469 Holster
  • 390 holster commandés dont 50 gauchers

Coût de la commande: 68 810 €

La remise du holster s’effectuera après la formation (selon Note DAP)

Holster de poitrine: en attente de doctrine d’emploi.

La livraison est prévue pour fin septembre, 15 holster prévus pour la formation.

Plan de formation en cours d’élaboration.

Holster cuisse : séance de tir obligatoire avant formation (note dap du 17/06/2024)

Gilet pare-balle lourd pour missions signalées.

Gilet pare-balle avec chasuble permettant de rajouter des plaques.

DISP : recensement en cours + se pose la question sur la durée et la validité de l’équipement.

Coût: 700€/pers Pas d’impact financier sur les autres opérations.

Bombe incapacitante : Commande de 32 aérosols

Les personnels seront sensibilisés au port et à l’utilisation des bombes incapacitantes de plus de 100ml.

Drone et brouillage:

  • Brouillage téléphone: pas de retour de la DAP sur le calendrier du déploiement. 50 brouilleurs répartis sur l’ensemble des DISP.

La DISP Toulouse en demande 16 => pas de retour de la DAP.

Établissements concernés: tous sauf CD St Sulpice, EPM Lavaur, MA Mende

  • Commande de 50 magnétomètres
  • Drône : DIA demande si les fiches dîtes «incident drone» remontent à la DISP. DSD : Répond que oui. Mais en premier lieu: appel de la structure puis envoi de la fiche incident.

La transmission des fiches «incident» permet de recenser le survol et de quantifier.

SAGEO : à voir pour l’établissement d’une fiche technique.

Le DI nous fait savoir que les prochains établissements concernés par la mise en place du dispositif anti-drone sont le CP Béziers et le CP Lannemezan.

Le CP Seysses précédemment prévu n’est plus concerné.

CHIENS – SPÉCIALITÉ STUPÉFIANTS:

194 missions ont été réalisées par l’équipe Cyno de Toulouse. L’équipe sera amenée à être renforcée dans le futur.

PRATIQUES PROFESSIONNELLES

GENESIS: accès agents ok

Conduite opérationnelle: Recyclage pour les formateurs sur la conduite opérationnelle / 9 formateurs sur le ressort de la DISP.

Refonte des niveaux d’escortes: Problématiques sur la question du profilage + configuration GENESIS sur niveau 3/niveau 3 renforcé FSI. A voir si la doctrine créera un niveau 4

Convoi ERIS : la nouvelle doctrine n’impose plus sur le nombre de véhicules.

Port uniforme/tenus civile : En cours de réflexion sur la possibilité du port de la cagoule.

DI s’oppose au fait d’être en tenue civile lors d’extraction médicale.

EXTRACTIONS

Limitation des extractions les plus dangereuses:

Visio avec les services judiciaires: Le DI nous informe qu’un recensement de l’usage établissement/établissement mais aussi juridiction/juridiction est en cours.

Un travail de sensibilisation et de communication auprès des magistrats pour permettre l’usage de la visio est effectué.

Extractions médicales :

Extractions médicales pour dialyse : problématique : temps passé sur place. Le DI demande réflexion sur des systèmes d’auto-dialyse. Système accordée sur certaines pathologies de dialyse. Implantation sur unité sanitaire.

FO Justice fait savoir que sur Béziers, le directeur du centre médical est prêt à mettre un appareil de dialyse (et non d’auto-dialyse).

Sécurisation des locaux extérieurs: Di souhaite des locaux appropriés.

FORMATION

Formation des personnels: Formation blessures de guerre. 12 formateurs sur le ressort de la DISP Toulouse.

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