Publié le Laisser un commentaire

Prison de Moulins-Yzeure : Rappel transfert immédiat

Le bureau local FO justice, s’alarme de la violence de certains détenus et de l’inadaptation de la Maison d’Arrêt de Moulins à force d’empiler des détenus très violents et qui souffrent de troubles psychologiques.

Ce mardi 25 octobre , vers 7h15, un détenu placé au quartier d’isolement, de retour d’HO, a encore agressé un premier surveillant et un officier en leur crachant dessus.

Le détenu M. a le nom et le prénom d’inscrit de tous les officiers et premiers surveillants dans le mur de sa cellule avec des menaces de morts, d’agressions etc….

L’énergumène n’est plus à son premier fait d’armes !

Toutes les semaines, il agresse les personnels, les insultes et les menaces de mort et crachats

La porte de sa cellule a vite été fermée cet après midi, nous allons finir par un pétage de plomb d’un surveillant, le détenu extrêmement agressif et vindicatif ne cesse d’écrire des messages d’insultes outranciers et des menaces de mort sur les murs de sa cellule.

Dans un prochain communiqué de presse, le bureau local FO Justice de Moulins fera connaître le professionnalisme des agents tout en condamnant fermement cette nouvelle agression envers le personnel pénitentiaire.

D’ailleurs, c’est une précédente agression sur un surveillant qui a amené cet individu à être placé au QD. C’est pourquoi nous exigeons son transfert immédiatement !

Insultes, crachats et jet d’urine=30 JOURS + 20 jours +20 jours et la commission de discipline va encore se réunir.

Les personnels qui travaillent sur ce secteur ont dû essuyer plusieurs fois des crachats, plusieurs insultes et menaces, ils sont depuis quelques semaines des faits quotidiens avec les dernières en date aujourd’hui à son retour de l’hôpital psy, au vu de ces faits gravissimes, plusieurs plaintes ont été déposées.

Les médecins ne sont pas capables de le calmer, la justice n’est pas au rendu vous! Ce sont donc les agents qui doivent se débrouiller avec les moyens du bord pour contenir sa furie !

Lire le communiqué

Publié le Laisser un commentaire

Implosion imminente : Visite CD Montmédy

Malheureusement la visite à l’établissement aujourd’hui ne fait que renforcer notre inquiétude. La DISP est venue puis partie mais le malaise est resté, lui.

Quand est-il des engagements de la DISP lors de sa venue, les ERIS pour la surveillance des travaux, des renforts d’agents, nos collègues sont encore là mais pour combien de temps ?

Même les personnes détenues se plaignent de leur condition de détention et du manque de personnel dans tous les services, le COMBLE !!!

Imaginez même eux ne supportent plus la situation et nous interpellent…

Le monde à l’envers

Alors devant la situation qui continue à se dégrader, la détention qui est sens dessus dessous, la solution de renfort avec des sortants d’école est une solution beaucoup trop tardive (fin février), il faut réagir vite et faire appel à la solidarité pénitentiaire, un appel doit être lancé officiellement pour aider nos collègues.

L’équipe régional FO Justice Grand Est restera et essayera par tous les moyens de vous soutenir.

Des solutions existent il faut juste s’en donner les moyens.

Lire le communiqué

Publié le Laisser un commentaire

Report ouverture base des ÉRIS de Paris : L’APIJ retard à l’allumage !!!

L’APIJ (AGENCE PUBLIQUE POUR L’IMMOBILIER DE LA JUSTICE) devrait le savoir, derrière chaque matricule se cache un être humain, une mère, un père de famille…

Les ERIS de Paris sont les super-héros de l’Administration Pénitentiaire quand ça l’arrange…

A côté du travail, il faut assumer sa vie de famille, il faut s’organiser car nous ne vivons pas pour notre travail mais nous travaillons pour vivre.

Le 26 septembre 2023, c’est avec fierté et respect que nous avons applaudi nos collègues ERIS, en présence de Monsieur le Ministre de la justice, pour fêter les 20 ans de cette unité d’élite de l’Administration Pénitentiaire.

L’ouverture OFFICIELLE de la base a été maintes fois repoussée…Première annonce JUIN, puis SEPTEMBRE pour les 20 ans, puis NOVEMBRE… Puis on ne sait pas trop

Les agents sont inquiets car on ne leur donnera pas de délai, à eux, pour leur prise de poste à l’ouverture. A quel moment les agents vont devoir changer d’établissement scolaire pour leurs enfants ? A quel moment les conjoints vont devoir donner leur préavis ? Autant d’interrogations qui laissent les agents dans le flou.

Comment être opérationnel sur des missions qui demandent concentration et équilibre de vie.

Quand est-il de la prime de restructuration des services pour les agents concernés ?

L’APIJ n’a-t-elle pas pigé l’importance de communiquer correctement sur des sujets si sensibles ?

Nos ERIS vont-ils devoir occuper les deux bases pendant un certain temps ? le temps de s’organiser peut-être…

Le bureau local Force Ouvrière Justice exige une communication transparente et sans ambiguïté à tous les niveaux auprès des agents concernés.

Le bureau local Force Ouvrière justice félicite les agents pour leur professionnalisme au quotidien malgré les tergiversations de l’administration.

Lire le communiqué

Publié le Laisser un commentaire

CSA-Ministériel du 19 octobre 2023 : La réforme historique validée à la majorité !

Le 19 octobre 2023 s’est tenu le Comité Social d’Administration du Ministère de la Justice avec notamment pour point à l’ordre du jour, les décrets relatifs au projet de réforme historique des Personnels de Surveillance portée par FO Justice.

Une réforme qui va permettre à l’ensemble du Corps d’Encadrement et d’Application de passer en catégorie B et en catégorie A pour l’ensemble du Corps de Commandement !

Malgré la tentative orchestrée par un improbable « bloc syndical », réunissant entre autres l’UFAP Unsa Justice et la CGT Pénitentiaire, visant à retarder ou faire échouer cette réforme, malgré l’opposition, les mensonges, les calomnies et la désinformation, cette avancée tant attendue et méritée par l’ensemble des Personnels de Surveillance verra bien le jour, comme FO Justice l’a promis.

Ils ont bien tenté, lors de ce CSA Ministériel, une ultime manœuvre d’obstruction, en déposant un nombre d’amendements astronomique, aussi futiles qu’inutiles. Mais FO Justice a tenu bon pour que ce projet aboutisse et que cette réforme, ô combien nécessaire et méritée, permette enfin de valoriser nos missions et de pallier au plus vite le manque d’attractivité de notre administration.

Comment ne pas s’offusquer de certains amendements communs à ces deux syndicats, proposant notamment un corps d’encadrement en 2 grades, qui aurait eu pour conséquence désastreuse de laisser près de 93% des agents de ce corps dans le grade de Surveillant & Brigadier sur une carrière complète, sans la moindre perspective d’évolution ? C’est une posture dangereuse révélant un amateurisme évident !

Et, à la surprise générale, le « bloc syndical » a explosé au moment du vote du décret actant le projet FO Justice :

POUR : FO Justice et CGT-SM = 8 sièges

CONTRE : UFAP Unsa Justice = 6 sièges

ABSTENTION : CFDT = 1 siège

Cette réforme HISTORIQUE de 120 millions d’euros a donc été validée à la majorité du CSA Ministériel !

Jamais une réforme d’une telle ampleur n’avait vu le jour dans l’Administration Pénitentiaire. Il aura fallu attendre que FO Justice devienne le Syndicat Majoritaire de cette Administration pour voir les choses RÉELLEMENT AVANCER pour les Personnels… ENFIN !

Le vote « POUR » de la CGT en faveur de cette réforme, vient réaffirmer toute la légitimité des avancées portées par FORCE OUVRIÈRE et met en lumière toute la bêtise d’un « bloc syndical » qui n’avait qu’un seul but : Cracher sur notre organisation syndicale, au risque de faire capoter une réforme pour les Personnels qu’ils sont censés représenter. Les masques tombent et l’UFAP Unsa Justice se retrouve maintenant isolé dans un sursaut d’orgueil malveillant.

La réforme du Corps d’Encadrement et d’Application, MAINTENANT VOTÉE, se déroulera bien comme FO Justice l’avait expliqué dans ses précédents communiqués.

Elle permettra un nouveau repyramidage des grades du Corps d’Encadrement et d’Application à 60% / 25% / 15% (surveillant et brigadier / brigadier-chef / major) contre 92,5% / 7,1% / 0,4% aujourd’hui (surveillant et brigadier / 1er surveillant / major) et donnera la possibilité de promouvoir 13000 agents au grade de Brigadier-Chef et Major.

Il est aussi acquis que :

L’ensemble des 1er Surveillants reclassé dans le grade de Brigadier-Chef passera bien sur la grille de Major en 3 vagues dans les 3 prochaines années.

L’ensemble des Lieutenants et des Capitaines sera reclassé sur la grille actuelle des CSP Classe Normale en 2027.

L’ensemble des CSP Classe Normale sera bien nommé, sur les 3 prochaines années, au grade de Commandant avec la grille de CSP Hors Classe actuelle et certains CSP Hors Classe seront nommés, au grade de Commandant Divisionnaire, avec la grille de CSP de Classe Exceptionnelle, s’ils remplissent les conditions.

L’application de l’article 10 ne sera pas systématique, mais restera liée à la fonction, comme c’est le cas aujourd’hui. La PSS sera au 1er janvier 2024 de 27.5% pour les grades de Capitaine CN et CS et de 23.5% pour les grades de Commandant et Commandant Divisionnaire. Elle augmente donc de 0,5% par rapport aux grilles actuelles de CSP.

Enfin, les dernières heures de négociations qui ont précédé le CSA Ministériel ont permis également à FO Justice de procéder à la correction des textes présentés au vote et d’obtenir des modalités de reclassement plus favorables pour le Corps de Commandement qu’initialement prévu, à savoir :

➢ Passage des Lieutenants et Capitaines sur la grille transitoire au 1er janvier 2024. Les durées d’échelon de la grille transitoire ont été modifiées pour s’aligner sur la grille actuelle. Les reclassements se feront à l’échelon identique avec l’ancienneté acquise.

➢ En 2027 les Capitaines « Classe Normale » seront reclassés Capitaines (grille CSP Classe Normale actuelle) avec ancienneté proratisée.

➢ Reprise des 3/4 de l’ancienneté acquise pour le 12e échelon provisoire du grade de CSP de Classe Normale lors du passage au grade de Commandant Catégorie A.

Un droit d’option, portée à 1 an au lieu de 6 mois, sera ouvert pour les Commandants de catégorie B à compter du 1er janvier 2024. Ils conserveront bien leurs grade et appellation.

Cette évolution permettra à chaque Commandant de prendre le temps de la réflexion dans des conditions sereines. FO Justice restera à leurs côtés pour leur donner toutes les informations nécessaires afin que chacun puisse faire le meilleur choix.

Pour information, les élus CAP n°7 du CDC représenteront l’ensemble des agents du CDC avec la répartition actuelle.

Enfin, pour les Surveillants et Brigadiers, FO Justice a réintroduit une mention permettant aux agents ayant moins de 2 ans sur leur première affectation, de pouvoir prétendre à la mobilité sur des postes restés vacants. Une correction de plus sur un texte imposé par l’ancien syndicat majoritaire, pour laquelle FO Justice a fait avancer les choses. La dessus, l’UFAP à voté contre… Pas étonnant malgré leur double discours sur la paternité de cette mesure qui était inacceptable !

ET MAINTENANT, PLACE À LA MISE EN ŒUVRE !

Malgré la désinformation, les embuches et la traitrise de certains syndicats envers les Personnels, FO Justice a su garder le cap pour permettre à l’ensemble des Personnels tous grades et corps confondus d’être revalorisés de plusieurs centaines d’euros et de gagner en perspectives d’évolutions statutaires, hélas bloquées depuis le plan de requalification catastrophique de l’UFAP.

Pour autant, le travail ne doit pas s’arrêter là.

En effet, cette réforme historique appelle maintenant de nouveaux combats, comme :

– La création d’une prime pour les Brigadiers Chefs et Majors de la filière encadrement.

Une évolution du pyramidage pour le corps de Commandement.

Une évolution des indemnités de nuit et de week-end…

Des combats dans lesquels FO Justice est déjà engagé !

L’attractivité portée par cette réforme, qui aura un impact sur le recrutement, doit aussi nous amener à repenser les rythmes de travail pour garantir les conditions de travail et de sécurité de l’ensemble des Personnels de Surveillance.

À JAMAIS POUR LES PERSONNELS ET AUX COTÉS DES PERSONNELS !

FO JUSTICE RÉPONDRA PRÉSENT !

Lire le communiqué

Publié le Laisser un commentaire

Compte rendu CSA départemental de Guadeloupe du 20 octobre 2023

Le vendredi 20 octobre 2023, s’est tenu au siège de la DSPOM, le deuxième CSA Départemental de Guadeloupe. A l’ordre du jour :

1 – Approbation du PV du CSA du 19/07 2 – Point sur les ouvertures

3 – Point sur les ELSP 4 – Plan de lutte contre les violences 5 – Questions diverses.

Le PV du dernier CSA a été voté à l’unanimité, validant ainsi le règlement intérieur du CSA et la désignation des représentants du personnel au conseil médical.

Concernant le point sur les ouvertures, nous apprenons que le nouvel établissement de Basse-Terre est sur la bonne voie. L’ouverture reste toujours prévue pour la fin de septembre 2024. Cependant, à Baie- Mahault, les travaux ont pris du retard pour la livraison du QSL et du LPHE (pour environ octobre 2024). FO Justice a soulevé le fait que ces ouvertures allaient se faire avec un apport réduit en effectif, 2 mutés pour le CPBM et 13 pour la MABT. Ces mutés, prévus en juillet 2024, ne permettront pas de faire tourner les établissements.

⇒ Comme les Organisations Syndicales l’ont toujours dénoncé, nous avons continué à affirmer que le nombre d’agents pour la création de l’ELSP de Baie-Mahault doit être revu à la hausse. D’autant plus que leurs missions ont évolué : sécurisation périmétrique, sécurisation intérieure, extractions médicales et astreintes de nuit. Mais personne ne semble comprendre notre inquiétude.

Concernant la création de l’ELSP de Basse-Terre, il faudra attendre l’arrivée des 13 mutés, en juillet 2024, pour commencer la sélection et l’entrée en formation des agents qui seront retenus pour la brigade ELSP. Des réunions en interne doivent voir le jour à la MABT avec les syndicats pour la mise en place.

La lutte contre les violences est un élément incontournable dans l’équilibre fragile d’établissement. L’oisiveté des détenus, le manque de formations professionnelles, les projections d’alcool et de substances prohibées, etc…. tout cela attise la violence entre détenus et des violences envers le personnel. Pour contrer ce problème de violence : d’une part des formations supplémentaires verront le jour sur le CP. D’autre part le projet de « volière » est toujours d’actualité, et aussi la pose de caillebotis décalés sera aussi étudiée. Quant au dispositif anti drone, les travaux ont déjà commencé. La lutte contre les violences passe aussi par la multiplication des fouilles de cellules, par des sanctions adaptées à l’encontre des détenus agresseurs de personnel et aussi par une meilleure prise en charges des détenus à profils psy qui gangrènent nos détentions.

Cependant, nous nous offusquons de voir que tous ces projets menés sur le CPBM n’ont pas été reporté su la nouvelle MABT. Pourtant, le personnel porte les mêmes revendications pour la sécurité des personnels et de l’établissement.

Les questions diverses. L’Administration nous demande de formuler des questions diverses mais les enlève de l’ordre du jour. Une seule question par OS a été retenue, mais nous avons quand même évoqué des sujets qui nous faisaient griefs.

En question diverses pour la CGT il était question de la formation des représentants au CSA Guadeloupe. Contrairement aux dispositions prévues par la loi, une formation est prévue pour les représentants du personnel qui participent dans les instances. Pour le moment rien n’est fait et rien n’a été prévu. Et c’est encore à nous les représentants de prendre contact avec le Secrétariat Général pour trouver des solutions.

FO Justice, nous demandons une convention avec des bailleurs sociaux pour aider les agents mutés dans leur recherche de logement. Car bien souvent, les nouveaux mutés rencontrent des difficultés d’hébergement lors de leur retour en Guadeloupe. Nous aimerions mettre en place une convention, ou un protocole d’accord avec les différents bailleurs sociaux, permettant une priorité, une facilité accrue pour l’attribution de logements. Le projet va être étudié.

UFAP interroge sur le déploiement du « Surveillant acteur ». Il est vrai que ce sujet est sur toutes les langues dans l’hexagone et tarde quelque peu à venir chez nous. Cependant pour FO Justice Guadeloupe ce débat est et restera une vaste supercherie pour encore nous caresser dans le sens du poil. Cela fait bien longtemps que le Surveillant est acteur. Et c’est bien dommage que l’administration le remarque que maintenant. Le Surveillant a toujours été à l’écoute de la population pénale, il a toujours rendu compte (à sa hiérarchie et aux différents partenaires) des problèmes observés, rencontrés, retenus, et même fait part de suggestions, de propositions… Le hic c’est que le Surveillant n’était pas écouté, ses observations n’étaient pas prises en compte. En gros la parole du Surveillant ne comptait pas ! Le Surveillant a été (et l’est encore) acteur pour lui-même car voulant faire bien son métier. En fait, aujourd’hui, c’est juste mettre un terme sur ce qu’il a toujours été et ce qu’il a toujours fait. Mais avec la nouvelle réforme du CEA, nous sommes obligés de prendre en compte « cette nouveauté ».

En parallèle d’autres sujets ont été évoqués. Pour les parcs automobiles, la MABT a reçu une enveloppe de 100000 euros pour l’achat de nouveaux véhicules. Au CPBM, le Master et le Partner ont été réparés mais pas d’achat prévu, et pourtant. Les OS ont demandé le remplacement des véhicules qui atteindront 7 ans.

Les OS ont demandé aussi la régularisation des postes vacants sur l’ensemble des établissements. Cela par une révision complète de l’Organigrammes de Référence des établissements.

Les OS ont rappelé à la DSPOM le problème des postes de communication. Pour FO Justice, l’urgence c’est le renouvellement de tous les ICOM sur les deux établissements afin qu’aucun personnel ne circule en détention sans moyen de communication. En ce sens, on nous annonce que les PCH et les bureaux du CP vont être équipés de téléphone DECT.

Concernant le fameux nouveau parking du CPBM, les OS demandent que le prestataire revoie sa copie. Ce parking est un champ de boue et de tuf, et une méga pataugeoire pour les véhicules du personnel.

Cette réunion se termine sur un goût d’inachevé, une note d’insatisfaction, une impression que les autorités, loin de la réalité du terrain ou loin tout court, mésestiment l’ampleur du travail à réaliser dans notre Département et ignorent volontairement la détresse du personnel.

Lire le communiqué