Catégorie : DISP Lyon

Mardi 16 avril 2024, lors de la descente promenade de l’étage B2, la surveillante a dû réaffecter la personne détenu D en cellule.

L’individu ne voulant pas se soumettre aux ordres de la surveillante, cette dernière a fait face à un refus de réintégrer.

Le détenu l’agrippe par le bras. Non loin, le surveillant USMP, alerté par les cris, intervient rapidement pour aider la collègue en maîtrisant la personne détenue. La mise en prévention de l’individu a été nécessaire pour mettre fin à l’incident.

Résultats des courses des surveillants choqué de la violence des faits, le surveillant Usmp à un doigt déboité et 15 jours d’arrêt !

Depuis quelques jours nous faisons face à une augmentation des violences des détenus pour cause : l’arrivée du brouilleur anti drone qui perturbe le bon déroulement de leurs transactions….

FO justice CP SAINT ETIENNE alerte sur la nécessité de renforcer l’effectifs.

Une augmentation des moyens humains est impérative, dans les jours à venir nous serons loin de couvrir l’ensemble des postes, comme certains jours où des agents se retrouvent seuls ce qui est loin d’être sécuritaire.

Aujourd’hui le personnel de surveillance est épuisé et ne tiendra pas longtemps surtout avec des conditions de travail déplorables.

FO justice CP SAINT ETIENNE souhaite un bon rétablissement aux collègues blessés !

FO justice CP SAINT ETIENNE demande une sanction à hauteur des dommages subis !

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Depuis quand les éléments de sécurité comme les caméras embarquées et les enregistrements audios des véhicules servant aux extractions sont-ils devenus les mouchards de l’administration ?

Pour rappel, ces enregistrements audio et visuels dans le cadre d’une mission, peuvent être éventuellement utilisés suite à un incident, afin d’apporter des éclaircissements sur une situation donnée. Et dans ce cas les agents doivent être mis au courant de l’exploitation de ces données, en complément de leur CRP.

Ces outils de surveillance ne peuvent être utilisée que dans le cadre professionnel et non pour surprendre des conversations d’ordre privé entre agent.

Utilisé ce matériel à d’autre fin créerait une atmosphère de suspicion lamentable et préjudiciable au sentiment de confiance entre la hiérarchie et son personnel.

Le bureau local FO condamne donc toute utilisation des écoutes et enregistrement à d’autre fin que leur but initial.

Les agents ne sont pas des voyous que l’on espionne !!!

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Ce matin aux parloirs un détenu connu pour son agressivité refuse d’obtempérer en salle de fouille.

Il insulte copieusement les agents puis tente de mettre des coups de poing aux collègues.

Il est maîtrisé et raccompagné en cellule.

Au moment de lui retirer les menottes, ce détenu agrippe les agents sur place, leur porte des coups, crache sur eux tout en les menaçant et les insultant.

Les collègues réussissent à sortir de la cellule et à la refermer.

FO justice s’interroge sur les suites données par l’administration lorsque des agresseurs de personnels sont déclarés incompatible avec leur sanction de quartier disciplinaire. Donnant alors un senti- ment d’impunité à ces dévoyés.

FO justice félicite les agents pour leur professionnalisme.

FO justice soutient les collègues dans leurs démarches.

FO justice Saint-Quentin-Fallavier demande le transfert rapide de ce détenu sur une autre structure au vu de tous les incidents qui le caractérisent.

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Ce vendredi 5 avril alors que le premier surveillant procédait au contrôle d’effectif à la MA1, le détenu R. s’est montré virulent, insultant et très agressif.

Alors que ce dernier était allongé sur son lit, œilleton bouché, le gradé s’inquiète de sa santé. Pour tout réponse, il a eu le droit à : « sale négro, je vais te planter ! ». Heureusement que le professionnalisme de nos gradés n’est plus à démontrer. La fermeture de la porte a permis d’éviter le pire, la personne détenue s’étant déjà saisi du couteau présent sur la table de la cellule.

Il aura fallu l’intervention de l’officier du QD avec ses 3 agents équipés de moyen de protection et un bouclier pour intervenir et le monter en QD.

FO Justice tient à remercier le personnel en tenue pour leur professionnalisme et leur engagement au quotidien.

FO Bourg en Bresse demande à ce que l’administration félicite les agents intervenus ce jour-là et souhaite une sanction à la hauteur des fautes commises.

Le bureau local Force Ouvrière reste disponible pour les agents et leur apporte son soutien.

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Aujourd’hui, il n’y aura pas d’effet de style ni de détours…

Cet après-midi, notre collègue en poste au premier droit a été agressée alors qu’elle effectuait tout simplement son travail.

Les faits sont graves et doivent tous nous alerter !

Probablement mécontent de devoir patienter que les mouvements promenades se terminent pour pouvoir effectuer son changement de cellule, le protagoniste en décidera autrement, et bousculera violemment notre collègue, forçant le passage, en clamant haut et fort qu’il n’attendrait pas.

La clé encore dans la serrure, la dragonne de la collègue est arrachée et brisée par la violence et la force de l’agression.

Relevée de son étage et prise en charge par la gradée de détention, puis par l’assistant de prévention, la collègue sera conduite aux urgences, souffrant de douleur au cou et au bras.

Elle subira 5 jours d’ITT.

Voilà déjà de nombreuses fois que nous vous alertons d’une montée en puissance des tensions et d’un danger grandissant pour les agents. Qu’attendez-vous pour agir ?

Quels sentiments les agents éprouvent-ils, lorsqu’ils viennent au travail, et que les insultes, menaces et agressions sont de plus en plus fréquentes mais n’entraînent pas les sanctions exemplaires attendues ?

Que pensent-ils, lorsqu’ils apprennent que leur hiérarchie elle-même est impuissante et que les transferts d’urgence de détenus susceptibles ou étant déjà passés à l’acte ne peuvent pas être effectués ?

Ce qui était autrefois inconcevable est désormais devenu une réalité ordinaire. Doit on s’en accommoder ?

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP exige que des sanctions EXEMPLAIRES soient prises à l’encontre de toutes personnes détenues qui agressent ou menacent nos collègues.

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP souhaite un bon rétablissement à notre collègue victime de cette agression et à tous nos collègues qui en ont subi dernièrement et reste à leur disposition pour les démarches à effectuer.

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Après les multiples incidents qu’a rencontré le quartier disciplinaire au cours de ces derniers jours, c’est maintenant au tour de la détention d’être au cœur des problèmes, et ce n’est pourtant pas faute d’avoir alerté !

C’est au 2ème gauche de la maison centrale, qu’une bagarre entre détenus s’est déclenché cette après-midi nécessitant le transfert médical en urgence de l’un d’entre eux.

La journée avait plutôt mal commencé quand un des pensionnaires de cet étage s’était confié au surveillant afin de faire part qu’un de ses codétenus cherchait à le tuer. Une fouille a donc permis de retrouver une arme artisanale.

Le 2ème gauche, parlons-en !

Étage très prisé de la population pénale où sont rassemblés des détenus aux profils compliqués. Ce sont donc des protagonistes déjà très bien connus de la direction pour multiples passage en CDD au vu de leurs comportements.

Les agents le savaient, qu’un drame finirai par arriver car grâce à leur professionnalisme et leurs connaissances de la détention, ils savaient que les réunir au même étage ne signifiait rien de bon.

Avec un QI surchargé plus aucune marge de manœuvre n’est possible. Reste donc la solution du 3ème droit.

Mais la encore, les détenus le savent, il suffit de s’en prendre à un des agents de cette brigade afin de sortir de cette étage … Que reste-il comme solution ? Doit on se satisfaire qu’aucun agent n’a pu être touché ?

Nous ne pouvons plus laisser nos collègues travailler dans ces conditions.

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP exige depuis trop longtemps une fouille de grande ampleur afin de retrouver un semblant de sécurité.

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP continuera de réclamer les transferts déjà demandés.

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP félicite une fois de plus l’ensemble des personnels qui grâce à leur professionnalisme et leurs connaissances réussissent à gérer ce genre de situation.

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FO Justice attire l’attention « encore une fois » sur les conditions préoccupantes et les incidents récurrents au sein du quartier disciplinaire de la maison centrale, les agents sont exacerbés par le comportement d’un détenu particulièrement instable. Cette alerte vise à une action urgente de la part de nos dirigeants.

Depuis plus de deux mois, le QD de la maison centrale a pris une tournure encore plus grave, les comportements provocateurs de la part d’un détenu spécifique continuent de mettre en péril la sécurité et le bon fonctionnement de notre établissement.

Malgré les efforts déployés, la situation ne montre aucun signe d’amélioration, encore cette nuit, un incident de trop s’est produit, le détenu en question a mis le feu à sa cellule. Les insultes, menaces et agressions envers les agents n’étaient donc plus suffisantes pour lui.

Cet acte, ce rajoute aux nombreux déjà cumulés depuis le 17 janvier !

Monsieur le directeur, le quartier disciplinaire n’est pas un refuge et la détention classique n’est pas adaptée

Placé sous une gestion équipée et menottée au quartier en raison de son comportement problématique et agressif, le voilà aujourd’hui en détention classique avec une simple ouverture à 2 agents et 1 gradé , suite à une sortie du QD imposée par le médecin de garde.

Monsieur le Directeur, la situation ne peut plus durer. Vos agents sont en danger.

Devons-nous vous rappeler que vous êtes garant de leurs sécurités ?

Attendons-nous, comme toujours, un drame pour agir ?

Pour le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP nous exigeons un transfert immédiat de ce détenu avant qu’il ne trouve le moyen de passer à l’agression !

Le Bureau Local FO Justice majoritaire du CP félicite l’ensemble des personnels qui malgré les diverses atteintes verbales et physiques continuent d’effectuer leur travail avec le plus grand professionnalisme.

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