Monsieur le chef d’établissement,
Nous accusons réception de vos petits mots introductifs à votre prise de fonction.
Nous vous souhaitons également, chaleureusement, la bienvenue. Nous espérons que votre passage à Montargis, vous procurera autant de joie qu’à Charles VII qui salua le courage et l’engagement de Montargis, et autant d’inspiration que cette diaspora Chinoise qui fera de Montargis un berceau de la Chine nouvelle.
Nous espérons que vos premières expériences professionnelles vous porteront à construire une communication sincère, neutre et factuelle. Votre attachement à une saine gouvernance dans l’exercice des valeurs humaniste est pour nous porteur d’espoir. Nous souhaitons qu’au-delà des mots les actes suivent dans la durée.
Nous servons effectivement ensemble, et au-delà du drapeau français, l’intérêt collectif et la sécurité de la nation. Devant votre citation de l’article 1er de la constitution, nous sommes heureux de découvrir votre intérêt à l’égard du bloc de constitutionnalité. Gageons que votre inclination va tout autant vers le préambule de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen « … l’oubli ou le mépris des droits de l’homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des gouvernement », ou celui de la constitution de 1946 « La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement …, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs. … La nation proclame la solidarité et l’égalité de tous les français devant les charges qui résultent des calamités nationales. »
Avec respect, nous vous invitons à songer à la notion de patience, peut-être nécessaire avant les hommages. La considération et le respect sont effectivement un préalable à l’investissement, pour que chacun dans le rôle qui lui est confié, puisse faire de son mieux.
Indubitablement nous nous accordons sur votre définition du job, et, devant la répétition que vous faites de ce mot, nous attacherons nos espoirs aux paroles de Job « Après les ténèbres, j’attends la lumière ».